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cochon de payant loc. nom. m. arg. , non conv. SPECT. "les spectateurs ordinaires, par oppos. à ceux pour qui l'entrée est gratuite" - GLLF, déb. 20e ; TLF, cit. L. Daudet, 1940 ; R, Lex.[75], PR[77], ø d.
Add.DDL :
*1926 - «C'est un continuel sujet d'étonnement pour un Français de constater avec quelle obéissance le 'cochon de payant' allemand se plie aux règlements de la salle.» Le Miroir des sports, 7 déc., 409c - G.S.
cochon de payant loc. nom. m. arg. , non conv. SPECT. "les spectateurs ordinaires, par oppos. à ceux pour qui l'entrée est gratuite" - DDL 17, 1926, Miroir des sports [repris in GR] ; TLF, cit. L. Daudet, 1940 ; GLLF, déb. 20e ; BEI, mil. 20e ; DEL, ø d.
av. 1907 - «COCHON DE PAYANT. Nom que donnent les auteurs et les artistes au public qui paie. Au sujet d'une pièce qu'il préparait pour le Gymnase, M. Alphonse Daudet s'est exprimé ainsi [...] : "Ce que je ne puis sentir, c'est le public lui-même, ce cochon de payant, comme on l'appelle en argot de coulisses."» H. France, Dict. de la langue verte, 57 (Nigel Gauvin) - Ch.Bu.
payant n.m. arg. ARG. PROSTIT. "client" - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1803 - «[...] ces êtres nécessaires aux femmes de ce genre, et qu'elles nomment très-proprement miché ou payant.» La Mascarade paris., 35 (Marchands de nouveautés) - P.E.
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