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passéisme n.m. CARACT. "attitude" - TLF, cit. Sartre, 1947 ; GLLF, 1952 ; PR[73], mil. 20e.
Add.DDL
*1946 - «Ce passéisme, avec ce qu'il comporte de dégoût du présent, de défiance à l'égard du futur, offre des dangers.» R. de Paris, sept., 152 - M.H.
passéisme n.m. ARTS "attachement excessif au passé, aux moeurs et valeurs du passé" - TLF, cit. Mauclair, 1930 (même texte) ; R, déb. 20e ; Lex.[75], v. 1950 ; GLLF, 1952, La Classe de français ; PR[77], mil. 20e.
Add.DDL :
*1930 - «Une des erreurs, une des misères de l'époque présente, c'est de vouloir diviser le Temps éternel et indéfini en ' passéisme' et 'modernisme' [...] Delacroix n'a pas été seulement [...] le seul qui puisse vraiment soutenir la comparaison avec les titans du 'passéisme', les Titien, les Greco, les Rembrandt, les Goya.» C. Mauclair, Les Métèques contre l'art fr. , 65 et 207 (Ed. de la Nouv. r. critique) - G.S.
passéisme n.m. CARACT. "attitude" - R, déb. 20e ; DDL 13, 1946 ; TLF, cit. Sartre, 1947 ; Lex.[79], v.1950 ; GLLF, 1952, La Classe de français ; PR[82], mil. 20e.
1931 - «Théodore Wolff reprend sur le mode mineur et laïque le thème de Mgr Kaas. Les traités, c'est le passé [...] Théodore Wolff lui-même ne nous fera pas croire que ce soit pour faire triompher la doctrine de l'évolution et de la vie sur le 'passéisme' et l'immobilité.» J. Bainville, Le Quatrième partage, in J. Bainville, La Russie et la barrière de l'Est, 201 (Plon, 1937) - J.S.
passéisme n.m. ARTS "attachement excessif au passé, aux moeurs et valeurs du passé" - DDL 17, 1930, Mauclair [repris in TLF, GR] ; GLLF, DMC, 1952, La Classe de français.
1926 - «Il favorisa l'éclosion d'un art électrique, écho des temps passés, un "passéisme" attendri ou amusé, savourant d'exquis souvenirs, recherchant le curieux et le cocasse.» L'Art vivant, 1er déc., 916 - S.A.
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