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parégorique (élixir -) loc. nom. m. PHARM. - TLF, 1795, Bosquillon [d'apr. DDL 12] ; FEW (7, 642a), PR[72], ND2, 1870, Lar.
*1854 - «Je veux parler de l'Elixir par égorique de New-York. Ce parégorique n'est autre chose qu'un laudanum composé dans lequel les Américains ont remplacé le safran et l'ammoniaque de l'ancienne formule par le camphre [...]»Journ. de méd. et de chir. pratiques, XXV, 390 - C.H.
parégorique (élixir -) loc. nom. m. PHARM. - DDL 8, 1854 ; FEW (7, 642a), ND3, PR[73], 1870, Lar. ; GLLF, 1872, Lar. ; DG, ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1795 - «Sutcliff, dans un temps où régnait la coqueluche, trouvant le remède de Burton extrêmement difficile à faire prendre aux enfants, en changea la forme, sans altérer la qualité des drogues, de la manière suivante. Il prenait une once et demi de teinture de quinquina, une demi-once d'élixir parégorique et un gros de teinture de cantharides qu'il faisait mêler ensemble.» Bosquillon, trad. : Cullen, Eléments de méd. pratique, III, 97, § 1425, note (Méquignon-Marvis) - P.E.
*1850 - «Elixir parégorique. Teint. d'opium anisée, Teint. d'opium ammoniacale du Codex. [...] Cette formule est tirée de la Pharmacopée d'Edimbourg. L'Elixir parégorique (Teinture de camphre composée, Teinture d'opium balsamique, Teinture d'opium camphrée) de la même pharmacopée ou de celle de Londres, se compose de [...]» Dorvault, L'Officine, 261 (Labé) - P.E.
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