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orgasme n.m. PHYSIOL.  "le plus haut point du plaisir sexuel qui est son aboutissement" - TLF, 1777, Sabatier ; L, ø d ; PR[72], 20e.
*1837 - «[...] un rêve excitant pendant la nuit l'orgasme vénérien [...]»Adelon, in F.-E. Guérin, Dict. pittoresque d'hist. nat., V, 436a - C.H.
*1844 - «Le physique agit sur l'imagination en raison de l'excitation que la sécrétion du sperme et l'évacuation menstruelle occasionnent. Si les individus n'ont pas encore eu de rapprochement sexuel, leur imagination travaille, elle s'inquiète des nouveaux phénomènes survenus, elle cherche leur but. Si déjà, comme on ne l'observe malheureusement qu'un trop grand nombre de fois, des rapports sexuels ont eu lieu, les individus s'y livrent avec une nouvelle ardeur, à cause de l'orgasme, produit des sécrétions.»Boyer, Traité des maladies chirurgicales, I, 128-9 (5e éd.) - C.H.
*1866 - «[...] si les pollutions se rattachent à la non-satisfaction d'un besoin physiologique, ainsi qu'on l'observe si fréquemment chez les hystériques, il faut obéir aux exigences de la nature, en se rappelant que le mariage n'est un moyen efficace que si le rapprochement sexuel est opéré de manière à ne pas laisser les organes génitaux de la femme indifférents, ou à ne pas les exciter, plus ou moins, sans aboutir à l'orgasme qui termine tout acte régulier et complet.»L. Fleury, Traité thérapeutique et clinique d'hydrothérapie, 620-1 (3e éd.) - C.H.