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déchiffrement-oralisation n.m. PSYCHOPÉDAG. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1983 - «Alors qu'il apprend à parler en situation, l'enfant qui apprend à lire à l'école apprend un acte purement mécanique centré sur le déchiffrement-oralisation.» J.-M. Adam et R. Legrand-Gelber, in J'cause français, non ?, 84 (A.P.R.E.F., La Découverte) - K.G.
oralisation n.f. LING. - TLF, cit. J. Peytard, 1977.
1970 - «Il n'y a pas de technique audio-visuelle, pas de formation pédagogique. Un contrôle écrit des connaissances en langues (dites vivantes) est imposé par un principal traditionalisé [...] Le problème n'est-il pas politique avant tout ? Que M. Guichard sache qu'on a pieusement rangé dans un tiroir ses circulaires sur l'oralisation des langues vivantes.» L'Express, 16 févr., 4 - AFC
1977 - «Dans ce passage de Céline : 'C'est même de ce jour-là... qu'il a pris l'habitude de la rencontrer dans ma salle d'attente, la vieille mère Henrouille, Robinson', le procédé d''emphase', familier à Céline, a sa valeur stylistique habituelle (oralisation du discours), mais il permet en outre la juxtaposition des deux syntagmes nominaux, laquelle connote la rencontre et le rapprochement complice des deux personnages [...]» C. Kerbrat-Orecchioni, La Connotation, 68 (Presses univ. Lyon) - Y.G.
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