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longueur d'ondulation loc. nom. f. OPT. "longueur d'onde" - TLF, ø d.
1830 - «C'est pourquoi l'on doit considérer les formules générales qui donnent l'intensité de chaque espèce de lumière homogène en fonction de sa longueur d'ondulation, comme l'expression même de la teinte produite par la lumière blanche.» M. Pouillet, Elémens de phys. expér. et de météorol., t.2, 2e part., 575 (Béchet) - P.P.
1874 - «ONDULATION s.f. [...] Physiq. [...] On nomme longueur d'ondulation le chemin que parcourt l'onde pendant la durée d'une vibration.» Lar. GDU - TGLPF
ondulation n.f. COIFF. - TLF (au sing.), cit. Goncourt, 1888 ; GLLF, 1935, Acad. ; R, PR[77], ø d la date de fin 19e, dans ND4, concerne sans doute le sens "action d'onduler les cheveux"
*1900 - «Voici Liline, avec son sourire inquiétant de Joconde sous ses ondulations dorés [sic], et ses yeux glauques [...]» Willy, Claudine à l'école, 301 (Ollendorff) - M.C.E.
ondulation n.f. COIFF.  "action de friser les cheveux" - TLF, cit. Goncourt, 1888 ; GLLF, 1935, Acad. ; R, PR[82], ø d.
*1905 - «Désormais l'ondulation faisait partie de l'art de la coiffure.» Lectures pour tous, janv., 312 - M.K.