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idée-ombre n.f. PHILOS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1890 - «Si nous avons adopté cette expression très générale d'idée-force, c'est précisément pour y envelopper tous les modes d'influence possible que l'idée peut avoir en tant que facteur, cause, condition de changement pour d'autres phénomènes, etc., en un mot, toutes les formes d'efficacité quelconque, par opposition aux idées-reflets, aux idées-ombres qui n'entrent pour rien dans le résultat final [...]» A. Fouillée, L'Evolutionnisme des idées-forces, Introd., xi - R.R.
ombre n.m. ICHTYOL. - FEW (14, 25b), 1562 ; L, DG, BW5, ø d umbre : FEW, PR[72], 1552
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
fin 14e - «De l'ombre. Il a un poisson en aucune rivierez que l'on apelle umbre... Pran le sain de l'ombre [...]»Livre des secrez de nature, 306 (Droz, 1942) - Fr. mod., 39, 156.
ombre n.f. CIVIL. Japon"suivant d'un personnage officiel" "invité amené avec lui par un convive" : DHR, 1690 ; L [1868] (antiq. rom.), ø d ; TLF, cit. Colette, 1936.
1864 - «Deux tsimandos, à la fois esclaves et espions de la reine, rappelant par ce dernier côté les ombres des ambassadeurs japonais, ne devaient pas quitter d'une minute les deux envoyés malgaches. [...] Les envoyés de la reine et leurs ombres furent invités à un grand dîner. On leur donna même au dessert le spectacle d'un branle-bas de combat dans les règles, avec toutes les émotions de la lutte, abordage, incendie, etc. ; mais ils n'y comprirent goutte [...]» L. Simonin, in R. des deux mondes , t.50, 15 avr., 976-7 et 978 - M.C.
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