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nocturnement adv. TEMPS - FEW (7, 164a), 1557 ; GLLF, mil. 16e ; L, 1678, Mme de Sév. ; Gc, Hu, ø d ; TLF, cit. Flaubert, 1842.
Au 20e- TLF, cit. Du Bos, 1923 (même texte) ; FEW, 1932. 1916 - «[...] attendent - quelques uns depuis longtemps - d'être nocturnement amenés aux cimetières de l'arrière.» H. Barbusse, Le Feu, I, 163 (Flammarion)
1923 - «[...] tout mon être se cabre à la seule idée de corriger nocturnement ces épreuves à Saint-Brice [...]» Du Bos, Journ., I, juill., 317 (Corréa)
Compl.GLLF (Proust)
*1927 - «[...] au-dessus de la ville nocturnement éclairée [...]» Proust, A la recherche du temps perdu, 762 (Gallimard)
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