| ![]() ![]() ![]() ![]()
neveu (un peu, mon -) loc. phrast. non conv. PHRASÉOL. - DELF, cit. Balzac ; L, ø d ; GLLF, 1951, Queneau ; Rs, PR[77], cit. Queneau [1952] ; R, ø d ; absent TLF.
1824 - «JEAN FARINE, se levant. C'est que l' jour de l'an est mon jour de barbe... en voulez-vous l'étrenne, ma tante ? La Mère LIMANDE. Un peu, mon neveu. JEAN FARINE, l'embrassant. J' vous la souhaitons bonne et heureuse, accompagnée de plusieurs autres.» Carmouche et De Courcy, Les Etrennes à la Halle, 4 (Bouquin de la Souche) - P.E.
1825 - «CHATELLERAUT. [...] dites donc, marchand d' parapluies [...] vous pouvez vous promener en dehors, vous et vos rifflards... çà vous défrise un peu, mon neveu.» Désaugiers, Lafontaine, Vanderburch, Le Marchand de parapluies, 8 (Brunet) - P.E.
1830 - «TITI. Là-bas, oui ; c'est çà ? LOLO. Un peu, mon n'veu. Dites donc, monsieur, laissez-moi passer ?» H. Monnier, Scènes populaires, 113 (Flammarion) - P.E.
|