| ![]() ![]() ![]() ![]()
arthritisme n.m. MÉD. - TLF, 1865, Littré-Robin ; PR[72], ND2, GLLF, 1878, Lar. GDU, Suppl. ; Mat. I, 1932, Acad.
1866 - «[...] nous parlons ici de la goutte vraie, légitime, et non des nombreuses manifestations morbides que certains médecins, en présence d'un diagnostic obscur, difficile, n'hésitent pas à rattacher à une goutte larvée, anomale, à l'arthritisme [...]»L. Fleury, Traité thérapeutique et clinique d'hydrothérapie, 467 (3e éd.) - C.H.
neuro n.f. abrév. de neurologiearg. ARG. MÉD. - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1971 - «neuro neurologie [...]» M. Monnot, in Fr. mod., 39, 197 - K.G.
neuro n. abrév. de neurologuearg. ARG. MÉD. MÉTIER - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1979 - «Neuro s'emploie aussi seul pour dire neurologie ou neurologue.» Dico-Plus, numéro 10, 11 (s.v. neurochir) - K.G.
neuro n.f. abrév. de neurochirurgiearg. ARG. MÉD. - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1982 - «Nous ne connaissons pas tous les médecins qui sont en neuro.» [Témoignage oral, hôpital liégeois], 26 févr., in Dico-Plus, numéro 23, 5 - K.G.
neuro-arthritisme n.m. MÉD. - GLLF, 1903, Lar. ; TLF, cit. Nouv. traité de méd., 1924 ; Lex, ø d.
1901 - «Association de l'arthritisme et de la névropathie.» Garnier et Delamare, Dict. des termes techniques de méd. (2e éd., Maloine) - J.Gh.
neuro-diélectrique n.m. BIOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1903 - «[...] ce sont des cellules mobiles. Elles peuvent rétracter leurs prolongements, comme les pieuvres rétractent leurs tentacules, et sinon perdre le contact avec les neurones voisins créer, dans leur propre substance, par suite des changements de densité résultant de la rétraction, des zones mauvaises conductrices, des barrages, que j'ai appelés les neuro-diélectriques. Dès lors le conducteur qu'ils forment est interrompu, et le courant d'énergie qui vient du monde extérieur par les voies nerveuses centripètes pour retourner au monde extérieur par les voies centrifuges, ne passe plus.» Dr C. Binet-Sanglé, in Annales médico-psychol., II, 358 - M.C.
neuro-dynamique adj. PSYCHOPHYSIOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1896 - «D'après Vogt, les inhibitions neuro-dynamiques reposent sur des écoulements de neurocyme qui doivent être considérés comme la compensation d'un afflux de neurocyme arrivé d'ailleurs. Vogt corrobore son opinion par des exemples. Une faible irritation d'un nerf produit souvent l'effet contraire d'une forte irritation du même nerf.» A. Forel, Un aperçu de psychologie comparée, in L'Année psychol. 1895, 2e année, 28 - M.C.
neuro-musculaire adj. MÉD. - RS, 20e ; TLF, cit. Ricoeur, 1949.
1881 - J. M. Charcot et P. Richer. De l'hyperexcitabilité neuro-musculaire, in Arch. de neurologie (1881-1882), cité in A. Binet et Ch. Féré, Le Magnétisme animal, 77, note 1 (1887) - C.H.
neuro-pathologiste n.m. MÉD. MÉTIER - GR[85], 1904 ; absent TLF.
*1914 - «[...] il pourrait sembler abusif, quand on traite de l'hystérie, d'employer sans cesse et à tout propos le mot inconscient qui ne conserve plus le sens philosophique et illimité qu'il possède dans la psychologie à laquelle les neuro-pathologistes l'ont emprunté. Il y aurait avantage à créer un terme moins équivoque celui par exemple de sous-conscience.» Dr Ch. Odier, A propos d'un cas de contracture hystérique, in Arch. de psychol., t.14, 201 - M.C.
neuro-psychasthénique adj. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1905 - «Mme X..., quarante-six ans, neuro-psychasthénique depuis la mort de son mari survenue il y a trois années, est atteinte à la fois de dépression nerveuse générale (fatigue, rachialgie, céphalée, dyspepsie atonique), de névrose d'angoisse (réveils angoissants, attente anxieuse, palpitations paroxystiques) et de détresse.» P. Hartenberg, La 'détresse' des psychasthéniques, in Journ. de psychol., 2e année, 135 - M.C.
1923 - «[...] on évitera donc l'erreur diagnostique de ceux qui ont recours à la cyclothymie dans tous les cas de poussée neuro-psychasthénique ou mélancolique des endocriniens, uricémiques, diabétiques, etc.» S. de Sanctis, Les enfants dysthymiques, in L'Encéphale, janv., 2 - M.C.
neuro-psycho-pathologique adj. MÉD. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1910 - «La théorie de Freud, d'après laquelle les rêves ne sauraient manquer de sens, mais seraient révélateurs de désirs subconscients, permet de voir dans bien des rêves autant de symptômes d'états neuro-psycho-pathologiques latents [...]» G.-L. Duprat, c.r., in Journ. de psychol., 7e année, 554-5 - M.C.
1914 - «Il [H. Oppenheim] ne reconnaît comme étiologie essentielle que la diathèse neuro-psycho-pathologique.» P.-L. Ladame, Névroses et sexualité, in L'Encéphale, numéro 1, janv., 69 - M.C.
neuro-épithélial adj. BIOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1896 - «Le troisième chapitre [J. Dejerine, Anatomie des centres nerveux, t.1, 1895, 816 p.] traite de l'histogenèse du système nerveux. Les travaux de His, Vignal, Retzius, etc., en ont élucidé les points principaux. A l'époque de sa formation, la gouttière neurale est constituée par une couche simple de cellules épithéliales cylindriques, cellules neuro-épithéliales de His, qui formeront la charpente épendymaire ou la substance de soutien de l'axe nerveux. Entre ces cellules apparaissent bientôt de nouvelles cellules, cellules germinatives qui se transforment en neuroblastes et donneront naissance aux cellules nerveuses proprement dites et aux cellules de la névroglie.» L'Année psychol. 1895, 2e année, 562 - M.C.
neuro-épithélium n.m. BIOL. - GLLF, 1932, Lar. ; absent TLF.
• neuroépithélium
1897 - «SZYMONOWICZ [...] a montré que les neuroépithéliums se différencient dans la masse des cellules épithéliales.» A. Prenant, c.r. : Semi Meyer, Expériences de section du nerf glosso-pharyngien, in L'Année biol., V, 181 - A.R.
1907 - «Epithélium différencié en surface sensible par suite de la présence d'un grand nombre de terminaisons (dendrites) nerveuses.» Nouv. Lar. illustré, Suppl - A.R.
|