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convoyage (navire de -) loc. nom. m. MAR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1926 - «Amundsen a tiré [...] de la vente de ses avions et de son navire de convoyage [...] l'argent nécessaire à l'expédition.» Le Miroir des sports, 21 avr., 253b - G.S.
garde-navire n.m. MAR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1862 - «Les matelots désignés pour la chasse sont remplacés à leur poste par les ship-keepers ou garde-navires [...]» E.D. Forgues, Gens de bohême et têtes fêlées, 227 (Hetzel) - P.E.
général major, général-major n.m. MILIT. - DDL 22, 1823 ; absent TLF.
1719 - «[...] un Tribunal, dont [...] Les Lieutenans Generaux, Bouterlin & Schlippenbach, les Generaux Majors Gallizin & Jugouschinski ; & les Brigadiers Wolkos & Ustaffold, seront Assesseurs.» Le Nouv. Mercure, mars, 139 - P.E.
1720 - «N. d'Ivoy, General Major, Quartier-Mestre General de l'Infanterie des Etats de Hollande [...]» Le Nouv. Mercure, janv., 167 - P.E.
1750 - «George-Conrad, baron de Goltze, général-major des armées du roi [...]» [Frédéric II], Mém. pour servir à l'hist. de la maison de Brandebourg, 404 (Au Donjon du chasteau) - P.E.
1757 - «Le Général-Major de Bornstadt, Commandant de cette ville [Prague] [...] Fischausen, ou le General Major de Canitz se trouve porté [...] Le Général Major Canitz qui avoit sous ses ordres un Corps d'Armée de 6000 Prussiens, a rejoint le Feldt-Marechal de Lehwald [...]» Journ. encycl. , 1er juill., 157 et 15 août, 150 et 1er sept., 147 - P.E.
général-major n.m. MILIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1823 - «Il [le prince de Lambesc] servit à l'armée des princes frères de Louis XVI, fit avec les Prussiens la campagne de la fin de cette année (1792) en Champagne, et prit, en 1793, du service en Autriche, où il devint, peu de temps après, général-major, et en 1796, feld-maréchal-lieutenant.» A.V. Arnault, etc., Biographie nouv. des contemporains, t. 10, 402 - R.R.
1825 - «Le prince de Lambesc devint général-major, et ensuite feld-maréchal au service de l'Autriche.» Note de l'éditeur, in Mme de Genlis, Mém., t. 4, 155 (Londres, Colburn) - R.R.
major n.m. non conv. MILIT. "pour un barbier, un chirurgien" "médecin militaire" : GLLF, GR[85], 1825 ; L, FEW (6/I, 58b), 1867 ; TLF, 19e.
1756 - «LA RAMEE [...] parlez-moi de r'bignoler des cheveux comme vous faites ; c'est ça qu'est du prope, quant à c' qu'est d' la vacation ; car vous êtes des bons pour la colure, M. Toupet, hem ? TOUPET [...] Mon genre est plutôt la lancette. LA RAMEE. C'est donc comm' qui diroit Frater : / Pour l' Régiment queu bonne emplette ! TOUPET. Point, point. LA RAMEE. Vous avez tort ; / Sçavez-vous ben qu' vous seriez d'abord / Garçon Major, / Presque Major, / Et p'têtre ben, Chirurgien Major.» Vadé, Les Racoleurs, 9 (Duchesne) - P.E.
major n.m. non conv. MILIT. "pour un barbier, un chirurgien" "médecin militaire" : GLLF, GR[85], 1825 ; L, FEW (6/I, 58b), 1867 ; TLF, 19e.
• major de la lancette loc. nom. m. - ø t. lex. réf. ; absent TLF. chevalier - : FEW (2, 3b), DDL 30, 1789 ; DEL, 18e
1788 - «La société, à dîner & à souper, étoit ordinairement très-nombreuse. Elle étoit composée de Maçons, de Commissionnaires, de Porte Faix, de Fiacres, de Chartiers, de Boueurs, de Ramoneurs ; enfin, de Savoyards de tous les pays & de toutes les espèces. J'y ai même vu, rarement il est vrai, des Chevaliers de la manique, des Majors de la lancette ou du rasoir ; j'y ai vu jusqu'à des Demoiselles du Port au Bled [...]» [Haudart], Vie et amours d'un pauvre diable, I, 111 (Hilaire) - P.E.
major n.m. non conv. MILIT. "pour un barbier, un chirurgien" "médecin militaire" : GLLF, GR[85], 1825 ; L, FEW (6/I, 58b), 1867 ; TLF, 19e.
• major du rasoir loc. nom. m. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1788 - «La société, à dîner & à souper, étoit ordinairement très-nombreuse. Elle étoit composée de Maçons, de Commissionnaires, de Porte Faix, de Fiacres, de Chartiers, de Boueurs, de Ramoneurs ; enfin, de Savoyards de tous les pays & de toutes les espèces. J'y ai même vu, rarement il est vrai, des Chevaliers de la manique, des Majors de la lancette ou du rasoir ; j'y ai vu jusqu'à des Demoiselles du Port au Bled [...]» [Haudart], Vie et amours d'un pauvre diable, I, 111 (Hilaire) - P.E.
navire volant loc. nom. m. MAR. MILIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1918 - «Mais il n'existe point jusqu'ici d'appareil aérien autonome et susceptible de tenir croisière en haute mer sans le concours d'un bâtiment de surface du genre de ceux que les marins nomment familièrement "mères gigognes". Le navire volant, aboutissement inévitable de l'hydravion, est entrevu, mais point encore réalisé. Et d'autre part, il n'est pas facile d'admettre que les Allemands puissent attacher une mère gigogne d'hydravions à un groupe de sous-marins, sans attirer rapidement l'attention [...]» Degouy, in R. des deux mondes, 1er avr., 660 - M.C.
1951 - «Ce prototype de véritable navire volant, propulsé par quatre turbines à hélice développant 56 oocv, doit avoir une vitesse maximum de 64 okm-H grâce à des formes très étudiées.» Le Masson, La Marine, 30 (Ed. S.N.E.P.) - FRANTEXT
navire-hôpital n.m. MAR. MÉD. - GLLF (s.v. hôpital), 20e ; TLF, cit. Gruss, 1978.
1868 - «Il fut [...] décidé qu'on installerait, avec le plus grand soin, de vastes navires-hôpitaux qui serviraient à la fois d'hôpitaux flottants et de transports destinés à rapatrier en Angleterre [...] les malades susceptibles de supporter le trajet.»Journ. de méd. et de chir. pratiques, XXXIX, 526 - C.H.
1873 - «Voici, d'après la Gazette de Silésie, quelles sont les mesures proposées par le lauréat : 1 Organisation de navires-ambulances ; 2 Construction de nombreux bateaux de sauvetage ; [...] 5 Etablissement de navires-hôpitaux dans les ports.»Journ. de méd. et de chir. pratiques, XLIV, 284-5 - C.H.
navire-usine n.m. PÊCHE INDUSTR. - GLLF, 1949, Lar. ; TLF, cit. Guillain, 1969 ; PR[73] (s. v. usine), ø d.
1932 - «Les uns /chalutiers/ seront assez grands pour pouvoir faire toute une campagne sans ravitaillement et constituer de véritables navires-usines [...]» La Science et la vie, mars, 201 - G.D.
navire-école n.m. ENSEIGN. MAR. - R, GLLF, 1959 ; TLF, cit. Robert ; Lex.[79], PR[82], ø d.
1905 - «[...] tout jeune Anglais [...] peut contracter un engagement de douze ans. Pour ses débuts, il est envoyé sur un des dix navires-écoles d'apprentis, stationnés dans différents ports du royaume.» Lectures pour tous, juill., 832 - M.K.
onéraire (navire -) loc. nom. m. MAR. - TLF, 1542 (même texte) ; FEW (7, 355b), 1838, Compl. Acad. nauf oneraire : G, 1542, Rab. ; DG, Hu, Rab.
1542 - L'Expedition et voy. de l'empereur Charles le quint en Affricque contre la cité des Arges, traduyte de latin en francoys par M. Pierre Toler, B ii recto (Lyon) - Et. Phil. rom. Hist. litt., 1980, 10.
porte-hydravions (navire -) loc. nom. m. AÉRON. MILIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1925 - «Navire porte-hydravions : nave porta-idrovolanti [...]» A. Bertùccioli, Petit dict. illustré de l'aéronautique ital.-fr. et fr.-ital. (Livourne, Giusti) - P.Z.
quinte major loc. nom. f. non conv. ACT. OBJET "soufflet, gifle" - FEW (2, 1482b ; - majore), TLF, 1647, Loret ; GLLF, av.1650, Mol. (sic) ; L, cit. Mol.
1634 - «Escoutez, Guillaume, é vous bailleray une quinte major sur le minoys, et vous montreray à parler à vostre maistre avec plus de respect ; entendez-vous, Guillaume ?» La Rencontre du Gros Guillaume et de Gaultier Garguille en l'autre monde, in Chansons de Gaultier Garguille, 223-4 (Jannet) - P.E.
sergent major loc. nom. m. MILIT. - TLF (sergent-majour), 1575, Brantôme ; GLLF, DHR, 1587 ; Hu, D'Aub. ; FEW (11, 532a), 16e.
1574 - «[...] ils esleurent [...] Loys de Martignon Grenetier du sel, pour Sergent major.» J. de Léry, Histoire mémorable du siège de Sancerre, in G. Nakam, Au lendemain de la Saint-Barthélémy, 233 (Anthropos) - P.E.
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