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archi-hôpital n.m. MÉD. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1764 - «On appelle cette maison [dans la Rome moderne] l'archiospedale, l'archi-hôpital Voltaire, Dict. philos., in Oeuvres complètes de Voltaire, I, 232 (Aux Bureaux du siècle, 1867) - A.Ré.
asile-hôpital n.m. PSYCHIATR.  PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1900 - «L'alitement transforme, avant tout, l'asile-prison en asile-hôpital ; il transforme en une salle de malades un quartier cellulaire. Il élève en dignité l'aliéné, le grandit, l'assimile au cardiaque, au tuberculeux.» Dr A. Pélas, Le repos au lit dans le traitement des aliénés, in Annales médico-psychol., I, 388 - M.C.
avion-hôpital n.m. AÉRON. MILIT.  MÉD. - DMC, cit. Le Figaro, 1966; absent TLF.
1947 - «[...] une autre traversée que je fis, durant la guerre, dans un avion-hôpital qui ramenait des grands blessés du front de Chine jusqu'en Floride [...]» A. LabartheLa Vie commence demain, 12 (Julliard) - P.E.
bateau-hôpital n.m. MAR.  MÉD. - R, PR[77], ø d ; absent TLF.navire-hôpital : GLLF, 20e ; R, PR[77], ø d
1905 - «Les Japonais [...] se sont organisés pour transporter au Japon sinon tous les malades et blessés du moins la plupart d'entre eux, au moyen de bateaux-hôpitaux frétés soit par le service de santé, soit par la Croix-Rouge japonaise.» Lectures pour tous, juill., 864 - M.K.
convoyage (navire de -) loc. nom. m. MAR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1926 - «Amundsen a tiré [...] de la vente de ses avions et de son navire de convoyage [...] l'argent nécessaire à l'expédition.» Le Miroir des sports, 21 avr., 253b - G.S.
garde-navire n.m. MAR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1862 - «Les matelots désignés pour la chasse sont remplacés à leur poste par les ship-keepers ou garde-navires [...]» E.D. ForguesGens de bohême et têtes fêlées, 227 (Hetzel) - P.E.
hôpital n.m. MÉD. - ND2, 1190, Garnier ; BW5, 12e ; FEW (4, 495b), TLF, 1671, Pomey.
• ospital
  - L, 14e, Baudoin de Sebourg ; FEW, ø d hospital : PR[67], 1190 ; DG, Gc, 12e, Garnier ; L, 12e
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1181 - «Sachent touz les frères de la maison de l'Ospital qui sont et qui à venir seront que les bones coustumes de la maison de l'Ospital de Jerusalem soloient estre teles : 1. Premièrement la sainte maison de l'Ospital soloit ressevoir les homes et les femes malades [...]»In Le GrandStatuts d'hôtels-dieu et de léproseries, recueil de textes du 12e au 14e s., 14 ; cf. 12, 13 et 15 (A. Picard) - J.Ki.
hôpital n.m. SÉRIC. - FEW (4, 496a), 1839, Acad. Compl. ; L, ø d ; absent TLF.
1763 - «L'espèce de ramage bas, où l'on place ces vers impotens (sevrés), est ce qu'on appelle l'Hopital Boissier de SauvagesMém. sur l'éducation des vers à soie, 133 (Nîmes, Gaude) - R.T.-B.C.
hôpital militaire loc. nom. m. MÉD.  MILIT.  "hôpital appartenant à l'administration militaire et dans lequel est soigné le personnel militaire ou assimilé" - L, GLLF, 1866 ; TLF, ø d.
Add.DDL :
*1833 - «Une loi du 14 frimaire an 3 créa des écoles d'officiers de santé pour le service des hôpitaux, et spécialement des hôpitaux militairesJourn. de méd. et de chir. pratiques, IV, 30 - C.H.
*1834 - «M. Brée, chirurgien en chef de l'hôpital militaire de Douai, a publié, dans les Mémoires de Médecine militaire, quelques considérations sur un nouveau traitement de la stomatite [...]»Journ. de méd. et de chir. pratiques, V, 193 - C.H.
hôpital militaire loc. nom. m. MÉD.  MILIT. "hôpital appartenant à l'administration militaire et dans lequel est soigné le personnel militaire ou assimilé" - DDL 8, 1833, Journ. de méd. et de chir. pratiques ; GLLF, 1866, Littré ; DHR, 1893 ; TLF, cit. Cendrars, 1948.
1759 - «HOPITAL. Il y a dans le Royaume quatre-vingt cinq hôpitaux militaires du Roi, qui sont sous les ordres du Ministre de la guerre [...]. Le Roi voulant rassembler dans un seul corps les dispositions des Ordonnances & Reglemens concernant les hôpitaux militaires, suppléer à ce qui a paru y manquer, N.M. a donné le 1. Janvier 1747, une Ordonnance portant reglement général concernant les hôpitaux militaires [F.-A. Aubert de la Chesnaye des Bois]Dictionnaire militaire, II, 416b et 421a (Duchesne) - P.E.
1780 - «N.M. Considérant l'importance dont est l'administration des hôpitaux militaires et de charité qui sont à son compte [...].» Ordonnance, 1er janv., in Recueil général des anciennes lois françaises, XXVI, 227 (Plon) - P.E.
hôpital psychiatrique loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - GLLF, 1951, Baruk ; Lex.[79], TLF, GR[85], ø d.
• hôpital de psychiatrie
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1922 - «Aussi peut-on admettre qu'à côté des services ouverts des asiles, surtout nécessaires pour des malades, momentanément aliénés, dangereux pour l'ordre public, mais rapidement guérissables (comme certains alcooliques aigus par exemple), il y a place pour des services d'isolement dans les hôpitaux généraux où seraient soignés des infectés ou des intoxiqués présentant momentanément des manifestations psychiques et aussi pour de véritables hôpitaux de psychiatrie où seraient admis des malades atteints de troubles psychiques qui apparaissent comme curables et qui ne nécessitent pas de mesures de protection sociale (psychasthéniques, neurasthéniques, etc.).» P. Kahn, in Annales médico-psychol., I, 359-60 - M.C.
hôpital psychiatrique loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - GLLF, 1951, Baruk ; Lex.[79], TLF, GR[85], ø d.
1923 - «L'administration et le Conseil général veulent créer à Ste Anne des services d'aigus avec tous les perfectionnements modernes, augmenter le nombre des médecins et des infirmiers, réaliser en un mot la conception de l'hôpital psychiatrique par opposition aux anciens asiles, garderies d'aliénés.» R. Leroy, A propos de la séparation des aliénés aigus et chroniques, in Annales médico-psychol., II, 388 - M.C.
hôpital-asile n.m. PSYCHIATR.  PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1900 - «Un hôpital-asile permet à Gheel [en Belgique] de recevoir toutes les catégories de malades et facilite de bonne heure pour le convalescent son passage à la vie libre, chez le nourricier.» Dr Magnan, in R. de psychiatrie, oct., numéro 10, 298 - M.C.
navire volant loc. nom. m. MAR. MILIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1918 - «Mais il n'existe point jusqu'ici d'appareil aérien autonome et susceptible de tenir croisière en haute mer sans le concours d'un bâtiment de surface du genre de ceux que les marins nomment familièrement "mères gigognes". Le navire volant, aboutissement inévitable de l'hydravion, est entrevu, mais point encore réalisé. Et d'autre part, il n'est pas facile d'admettre que les Allemands puissent attacher une mère gigogne d'hydravions à un groupe de sous-marins, sans attirer rapidement l'attention [...]» Degouy, in R. des deux mondes, 1er avr., 660 - M.C.
1951 - «Ce prototype de véritable navire volant, propulsé par quatre turbines à hélice développant 56 oocv, doit avoir une vitesse maximum de 64 okm-H grâce à des formes très étudiées.» Le MassonLa Marine, 30 (Ed. S.N.E.P.) - FRANTEXT
navire-hôpital n.m. MAR.  MÉD. - GLLF (s.v. hôpital), 20e ; TLF, cit. Gruss, 1978.
1868 - «Il fut [...] décidé qu'on installerait, avec le plus grand soin, de vastes navires-hôpitaux qui serviraient à la fois d'hôpitaux flottants et de transports destinés à rapatrier en Angleterre [...] les malades susceptibles de supporter le trajet.»Journ. de méd. et de chir. pratiques, XXXIX, 526 - C.H.
1873 - «Voici, d'après la Gazette de Silésie, quelles sont les mesures proposées par le lauréat : 1 Organisation de navires-ambulances ; 2 Construction de nombreux bateaux de sauvetage ; [...] 5 Etablissement de navires-hôpitaux dans les ports.»Journ. de méd. et de chir. pratiques, XLIV, 284-5 - C.H.
navire-usine n.m. PÊCHE INDUSTR. - GLLF, 1949, Lar. ; TLF, cit. Guillain, 1969 ; PR[73] (s. v. usine), ø d.
1932 - «Les uns /chalutiers/ seront assez grands pour pouvoir faire toute une campagne sans ravitaillement et constituer de véritables navires-usines [...]» La Science et la vie, mars, 201 - G.D.
navire-école n.m. ENSEIGN.  MAR. - R, GLLF, 1959 ; TLF, cit. Robert ; Lex.[79], PR[82], ø d.
1905 - «[...] tout jeune Anglais [...] peut contracter un engagement de douze ans. Pour ses débuts, il est envoyé sur un des dix navires-écoles d'apprentis, stationnés dans différents ports du royaume.» Lectures pour tous, juill., 832 - M.K.
onéraire (navire -) loc. nom. m. MAR. - TLF, 1542 (même texte) ; FEW (7, 355b), 1838, Compl. Acad. nauf oneraire : G, 1542, Rab. ; DG, Hu, Rab.
1542 - L'Expedition et voy. de l'empereur Charles le quint en Affricque contre la cité des Arges, traduyte de latin en francoys par M. Pierre Toler, B ii recto (Lyon) - Et. Phil. rom. Hist. litt., 1980, 10.
porte-hydravions (navire -) loc. nom. m. AÉRON. MILIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1925 - «Navire porte-hydravions : nave porta-idrovolanti [...]» A. BertùccioliPetit dict. illustré de l'aéronautique ital.-fr. et fr.-ital. (Livourne, Giusti) - P.Z.
train-hôpital n.m. CH. DE FER  MÉD.  MILIT. 
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1905 - «Chacun des trains-hôpitaux contient au plus 200 couchettes.» Lectures pour tous, juill., 860 - M.K.
*1933 - «Plus loin, c'est Woolwich. Je l'ai vu, pendant la guerre, s'éveiller avec ses cent mille ouvriers dans l'aube d'hiver, lorsque les blêmes équipes de nuit étaient relevées au petit jour par des équipes de femmes, lorsque, sous la bruine, les trains-hôpitaux débarquaient des Flandres. Tandis que les soldats gazés, gangrenés, sanglants, étaient enfournés dans les ambulances, d'autres convois, des trains de munitions amenaient de chez Armstrong ou de chez Vickers des canons à tir rapide, des mitrailleuses, que nos officiers réceptionnaient [...]» P. MorandLondres, IV, 316 - R.R.