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nationaliser v.tr. ADMIN. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1797 - «On sait que ces productions lui valurent un des plus beaux logemens du Louvre, voire même d'être membre de l'institut national. Il me semble (qu'il me soit permis de le dire en passant, pour ce poëte comme pour Louvet) qu'aucun calomniateur ne devroit être nationalisé.»Feuilleton des spectacles, Suppl. à la Quotidienne, 18 févr., 3 - R.R.
nationaliser (se -) v.pron. RELAT. INTERN. - TLF, 1800, Boiste ; FEW (7, 42a), GLLF, 1803, Boiste ; L, GR[85], ø d.
1798 - «Nationaliser (se -), vp. Se fixer chez une nation ; en prendre les moeurs, les habitudes, les manières.» Catineau, Dict. de poche de la langue fr. (Batilliot) - P.E.
nationaliser (se -) v.pron. LITT. - TLF, cit. Benda, 1927 ; GLLF, cit. Gide.
1866 - «Il n'y a pas, dans la Maison forestière, d'autre écho des guerres de la révolution : le début est une idylle allemande, et c'est ici que l'on rendrait très volontiers justice aux auteurs, si on ne craignait de leur déplaire : qui sait si leur envie de se nationaliser ne les dispose pas à faire bon marché de leurs qualités de paysagistes ?» F. de Lagenevais, in R. des deux mondes, t.64, 1er juill., 230 - M.C.