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mufle n.m. CARACT. - PR[72], ND2, 1836 ; FEW (16, 574a), TLF, 1840, Compl. Acad.
• muff non conv. - absent TLF.
Add.DDL
*1894 - «On n'était plus qu'à un hectomètre environ de la gare de Rueil (la gare de toute la banlieue où les employés ont reçu la plus déplorable éducation. Oh ! les muffs !)»A. Allais, Rose et vert-pomme, Le terrible drame de Rueil, 28 - R.R.
1931 - Lar. XXe - R.R.
mufle n.m. non conv. CARACT. "personne grossière" - ND4, PR[77], 1836, Landais ; FEW (16, 574a), R, GLLF, BW6, Lex.[75], TLF, 1840, Compl. Acad. ; L, DG, ø d.
• muff - DDL 6, 1894, Allais ; absent TLF.muffe : FEW, 1856
1882 - «Il [le mendiant] dit : 'Monsieur, je vous en sssupplie !' On dirait qu'il va tomber à vos pieds, et si vous passez votre chemin sans avoir l'air d'entendre, il vous crie : 'Hé ! va donc, muff !'» A. Scholl, Guide du mendiant dans Paris, in La Vie pop., 23 avr., 133 - R.R.
mufle n.m. FERRONN. - FEW (16, 574a), GLLF, 1803, Boiste ; L, ø d ; absent TLF.
1762 - «Mufle : On nomme ainsi des bandes de fer qui forment des espèces de gouttières, et qu'on place sous les bouts des ressorts pour empêcher que par leur frottement ils n'usent les parties sur lesquelles ils s'appuient.» Duhamel de Monceau, Art du serrurier, in R. d'hist. des mines et de la métallurgie, IV, 1/2, 85 (Genève, Droz, 1972) - TGLF
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