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corde (montée à la double -) loc. nom. f. ALP. - RSp., 1943, Pourchier-Frendo ; in Ga [1970] ; absent TLF.
Formule d'approche : 1936 - «La montée à l'aide de la double corde [...]» Maduschka, Technique moderne du rocher, cité in RSp., (s.v. échelle) - C.T.
dénivelée-montée n.f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1968 - «Cette étape, que nous avions effectuée dans notre raid 1966, est assez courte, sans difficulté, c'est presque une journée de repos ; elle fut transformée, dans notre raid de 1968, en deux longues étapes de 13 et 9h de marche, dans une neige très profonde, avec une dénivelée-montée de 1500 et 1100 m.» La Montagne et alpinisme, numéro 69, oct., 328 - C.T.
fart de montée loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Le fart de montée est toujours aussi en même temps un fart de descente. Il doit être appliqué de façon à retenir à la montée, sans former de gâteau, et à glisser sans faire frein en palier ou à la descente.» J. Selz, trad. : M. Winkler, La Nouv. technique du ski, 21 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1933 - «Pour monter sans peaux de phoque et sans fart de montée, prenez une trace montant lentement, où vos skis ne glissent pas à chaque instant en arrière, c'est-à-dire en faisant des serpentins.» K. Wick, Man. du ski de descente, 14 (Fasquelle) - M.J.
frein de montée loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1906 - «Quand on doit monter un peu longtemps, on peut éviter de faire des lacets, si la pente n'est pas excessive, en employant des 'freins de montée' [...]» Rivas, Petit man. du skieur, 32 (Briançon) - C.T.
1912 - «Pour gagner le plateau de la Balme, il suffit de suivre le thalweg. Des freins de montée sont nécessaires, car il est impossible de monter en lacets dans ce ravin trop étroit, et la pente est trop forte pour en permettre l'ascension directe.» R. alpine, 350 - M.J.
montée directe loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1931 - «La peau de phoque à sanglettes est merveilleuse en montée directe, mais il ne faut pas s'en servir à contre-pente ou dans des marches à flanc [...]» Ski-Sports d'hiver, n° 1, 10 - M.J.
montée en arête loc. nom. f. SKI - RSp. (- de poisson), 1924, Encycl. sports.
1904 - Légende, in Man. d'alpinisme, 538 (L. Laveur) - C.T.
montée en ciseaux loc. nom. f. SKI - RSp., 1939 ; absent TLF.
1908 - «Les figures ci-contre montrent deux méthodes de montée, pour petits parcours seulement, car elles sont fatiguantes à la longue (montée en escaliers et montée en ciseaux).» L. Arnaud, trad. : Hoek et Richardson, Le Ski, 78 (Grenoble) - C.T.
1917 - «La montée en ciseaux, pénible, ne peut se faire longtemps et ne convient pas aux pentes très fortes.» H. Faes et P.-L. Mercanton, Le Man. du skieur, 36 (Lausanne, Impr. réunies) - M.J.
1928 - «Pour faire une montée en ciseaux (fig. 55), on gravit la pente en ligne directe, les pointes en dehors, les skis formant entre eux un angle à peu près droit ; les jambes sont fortement écartées pour ne pas croiser les skis derrière le pied. A chaque pas, on dégage entièrement le ski de la neige en le soulevant et on le repose plus loin. [...] Au point de vue de la position, c'est le contraire de la descente-freinée. Ce procédé n'est recommandable que sur des pentes raides, que l'on abordera toujours de front et jamais en travers ou de biais. Dans un chemin creux ou dans un couloir, la montée en ciseauxest impraticable ; par contre, elle est relativement facile et rend bien des services sur des croupes ou des arêtes en dos d'âne point trop inclinées, où les skis surplombent respectivement l'un et l'autre versant. » A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. Barblan, L'Art du ski, 102 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
1938 - «Ses skis ne se déplacent plus parallèlement. Ils se passent tour à tour l'un au-dessus de l'autre. C'est la montée en ciseau.» A. Charlet et N. Brunel, L'Appel de la montagne, 28 (Delagrave) - M.J.
montée en demi-ciseaux loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1928 - «Cette montée se compose de pas en ciseaux et de pas glissés. Le corps étant soutenu par les bâtons, le ski d'amont avance et monte en pas glissé. Après qu'on a levé le ski d'aval, on le pose plus ou moins horizontalement, la pointe en dehors. La montée en demi-ciseaux est indiquée dans un chemin étroit, dont la pente est trop forte pour permettre le pas glissé, et aussi dans un chemin limité d'un côté par un talus et de l'autre par une pente.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. Barblan, L'Art du ski, 105 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
montée en escalier, montée en escaliers loc. nom. f. SKI - RSp., 1936, Maduschka ; absent TLF.
1903 - «On peut encore, en laissant les skis horizontaux, s'élever sur la pente par des pas successifs, et ces montées obliques, ou en escalier, donnent beaucoup plus de stabilité et de sécurité qu'on ne le croirait tout d'abord.» R. alpine, 75 - M.J.-C.T.
1908 - «Les figures ci-contre montrent deux méthodes de montée, pour petits parcours seulement, car elles sont fatiguantes à la longue (montée en escaliers et montée en ciseaux).» L. Arnaud, trad. : Hoek et Richardson, Le Ski, 78 (Grenoble) - C.T.
1917 - «La montée en escalier se fait avantageusement aussi en trajet oblique.» H. Faes et P.-L. Mercanton, Le Man. du skieur, 36 (Lausanne, Impr. réunies) - M.J.
1928 - «La montée en escalier. - C'est l'application, sur la pente, de la marche de côté (en escalier). On se place en travers de la pente, les skis bien horizontaux. Le pied qui se trouve en amont soulève entièrement le ski et, s'écartant, le pose plus haut, horizontalement et parallèlement à l'autre.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. Barblan, L'Art du ski, 106 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
1930 - «Montée en escalier. - Si on veut prendre plus de pente, on doit utiliser un pas en gradins, c'est-à-dire qu'à chaque pas, on soulève le ski amont, on l'élève d'une marche en avançant d'un pas, le ski aval suit chaque fois [...] Le demi-pas de canard (d'un seul côté), qui remplace souvent la marche normale et la montée en escalier, est fréquemment appliqué dans la marche de flanc : on marche normalement avec le ski amont et on ouvre modérément le ski aval [...]» J. Selz, trad. : M. Winkler, La Nouv. technique du ski, 34 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
Cf. marche en escalier
montée en pas de canard loc. nom. f. SKI - In Ga (montée en canard ; s.v. ciseaux) [1969] ; absent TLF.
1933 - «La montée en 'pas de canard' qui consiste à monter dans la ligne de pente, en écartant le plus possible les spatules et en s'appuyant sur les bâtons que l'on plante derrière les skis n'est pas à recommander, parce que la position forcée des pieds et la raideur de la montée sont beaucoup trop fatigantes.» K. Wick, Man. du ski de descente, 15 (Fasquelle) - M.J.
montée oblique loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1903 - «On peut encore, en laissant les skis horizontaux, s'élever sur la pente par des pas successifs, et ces montées obliques, ou en escalier, donnent beaucoup plus de stabilité et de sécurité qu'on ne le croirait tout d'abord.» R. alpine, 75 - M.J.-C.T.
montée à traces croisées loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1908 - «Une autre méthode à traces en flèche, bien moins pénible que la montée à traces croisées ou en ciseaux, tient le milieu entre cette dernière et la montée directe normale.» L. Arnaud, trad. : Hoek et Richardson, Le Ski, 79 (Grenoble) - C.T.
pas de montée loc. nom. m. SKI - RSp., 1939 ; GLLF, 1970, Rob. ; GR[85], ø d ; in Ga [1969] ; absent TLF.
1936 - «Or, cette technique est assez vaste. Elle va de la marche en terrain plat, au saut. Elle comporte l'étude des pas de montée : pas en escalier, pas en ciseaux qui permettent d'avancer en terrain escarpé.» P. Amiguet, Technique et poésie de la montagne, 221 (Grasset) - M.J.
pièce montée loc. nom. f. PÂTISS. - TLF, 1807, Alm. des gourmands ; FEW, ND1, 1857, Flaubert ; L, DG, PR[67], ø d.
1807 - Almanach des gourmands, 72-74 - F.R.-R.S.
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