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auto-monte-pente n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1938 - «M. Pérot, qui a déjà d'importantes commandes en cours d'exécution, aura, dès cet hiver, plusieurs auto-monte-pente en service dans des centres importants. Nous aurons donc l'occasion de reparler de ce nouvel auto-monte-pente qui est peut-être bien appelé, en raison de ses avantages, à obtenir les préférences des stations le plus en vogue comme des stations les plus modestes.» Ski-Sports d'hiver, n° 52, janv., 117 - C.T.
Cf. remonte-pente
dalle en pente (avoir la -) loc. verb. arg.  ARG.  US. ALIM. - FEW (15/II, 49b), GLLF, 1920, Bauche ; TLF, cit. Arnoux, 1944 ; PR[72], ø d.
1881 - «Dalle en pente. Solide appétit [...] 'Que ceux qui ont un vaste estomac, de gros boyaux, la dalle en pente, engloutissent des platées énormes et vident des brocs, rien de plus juste.' La Petite lune, janvier.» RigaudDict. arg. mod. - IGLF
1898 - «Vous avez donc toujours la dalle en pente, vous, la vieille ?» G. de TéramondLa Petite Zaza, I, vi - B.T.
filin monte-charge loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1959 - «Pierrot et Bernard montent le matériel jusqu'à l'écaille à l'aide du filin monte-charge La Montagne et alpinisme, numéro 25, déc., 147 - C.T.
ligne de pente loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1919 - «Par la cabane des pâtres [...], on traverse le Plateau de Bachilianne, en visant une ligne de pente où l'éperon est manifestement gravissable [...]» La Montagne, numéro 138, sept.-oct., 211 - C.T.
1934 - «Il n'est utile de mettre les pieds au rocher que dans trois cas [...] (b) Rappels obliques : là, pour ne pas se laisser entraîner en dehors de la ligne de descente, il importe d'utiliser au mieux les accidents de la surface rocheuse ; on pratiquera notamment des contre-appuis du pied, en poussant vers la ligne de pente, afin de s'en écarter.» Man. d'alpinisme, 101-2 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
monte-au-ciel (à la -) loc. adj. COIFF. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1773 - «Vous êtes charmant aujourd'hui, venait de lui dire la Mère de DÉLIÉE, en lui voyant la tête garnie de petites boucles, surmontées d'un toupet à-la-monte-au-ciel, qui formait un obélisque de neige pisseuse d'environ demi-piéd de haut.» Restif de La BretonneLe Ménage parisien, part. 1, ch. 8, 93 (Coll. 10/18, 1978) - R.R.
monte-charge n.m. MANUT. - GLLF, 1878, Lar. ; DG (néol.), FEW (6/III, 112a), 1890-1900.
Compl.PR[73] (1862) et TLF (mêmes réf., ø texte)
1862 - «Sur les deux côtés sont placés deux monte-charges : celui de droite est destiné exclusivement à l'usage des voyageurs que pourraient (sic) fatiguer la montée ordinaire par les escaliers ; celui de gauche monte les bagages.» Le Musée des familles, Compl., août, 69 - A.R.-J.De.
monte-plat, monte-plats n.m. ÉCON. DOM. - TLF, 1876, Chabat ; DDL 12, GR[85], 1878 ; DG (néol.), FEW (6/III, 112a), GLLF, Lex.[79], 1893.
1875 - Bottin, in DarmesteterDe la Création actuelle de mots nouv. dans la langue fr., 164 (Réimpr. de l'éd. de Paris 1877, Genève, Slatkine, 1972) - M.B.
monte-plats n.m. ÉCON. DOM. - TLF, 1876, Chabat ; PR[67], BW5, ND2, fin 19e ; DG (néol.), FEW (6/III, 112a). 1890-1900.
*1894 - Sachs-VillatteFranzösisch-deutsches Supplement-Lexikon (Berlin) - M.H.
monte-plats n.m. ÉCON. DOM. - TLF, 1876, Chabat ; DG (néol.), FEW (6/III, 112a), GLLF, 1893 ; DDL 4, 1894, Sachs-Villatte ; BW5, ND3, PR[73], fin 19e.
*1878 - «[...] un rez-de-chaussée composé d'un grand salon, de deux petits salons, d'une salle à manger et d'un office avec monte-plats [...]» Paris-Diamant, Suppl. publicitaire, Annonce, 101 - P.E.
monte-à-regret (aller à -) loc. verb. arg. , non conv. JUST. "être pendu" - TLF (aller à l'abbaye de monte-à-regret), cit. E. Sue, 1844 abbaye de monte-à-regret, n.f. "potence" : DEL, GR[85], DArg., BEI, 1628 ; TLF, cit., 1828-29 ; FEW (6/III, 112a), 1845, Besch. ; L, ø d
1634 - «Lestoc [...] ie me trouuay vne fois à Marseille tout prest d'aller à Mont'-à-regret pour auoir tué vn soldat des Galeres comme il dormoit [...]» Trad. : [A.J. de Salas Barbadillo]Le Matois mary, 241 (Billaine) - P.E.
pente (prendre de la -) loc. verb. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1905 - «Nous connaissons trop l'ennui d'avoir à notre suite, dans des ascensions où tout retard est dangereux, des partisans du ski sans peau. Nous n'aimons pas, à la montée, que les récriminations : 'Ralentissez ! ne prenez pas tant de pente !' viennent troubler notre allure de montagnard.» R. alpine, n° 4, avr., 118 - M.J.-C.T.
pente de réception loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Le bon sauteur fléchit en position telemark, puis se redresse immédiatement de façon à résister à la pression qu'il rencontrera au point où la pente de réception se soude avec le terrain plat, en avançant de nouveau un pied et en tombant de nouveau dans une position de semi-telemark.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, 55 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
pente-limite n.f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1908 - «Pour faire une montée, il faut tout d'abord connaître par expérience la pente-limite que l'on est en état de gravir sans recul, placer ensuite convenablement ses skis [...]» L. Arnaud, trad. : Hoek et RichardsonLe Ski, 77 (Grenoble) - C.T.
prise de piolet (à la pente) loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1925 - «La neige avait fondue [sic], il fallut une courte échelle très scabreuse et une prise supplémentaire de piolet R. alpine, vol. 26, numéro 4, 152 - C.T.
1967 - «La prise de piolet à la pente s'opère tous les deux pas en plantant celui-ci, tenu en piolet-ramasse, ou en piolet-canne, latéralement par rapport à soi, toujours en avant, dans la direction de progression.» La Montagne et alpinisme, numéro 62, avr., 48 - C.T.
remonte-pente, remonte-pentes n.m. SKI - RSp., GR[85], TLF, 1941, L'Auto ; FEW (6/III, 111a), GLLF, 1949, Lar. ; DMC, cit. L'Express, 1965.
• monte-pente
  - RSp., GR[85], 1939 ; TLF, 20e.
1935 - «La [sic] 'monte-pente' de Davos. - Nous avons signalé dans notre dernier numéro, p. 333, qu'il allait être tenté à Davos une expérience de traînage d'une nouvelle conception. Ce monte-pente pour skieurs - quelque chose d'inédit [...] est une ingénieuse invention brevetée de l'ingénieur zurichois E. Constam. On escalade la montagne, les skis aux pieds, sans effort aucun, concentrant tout son temps, son attention et ses forces à la seule descente. Ainsi on apprend à skier en quelques jours. Le monte-pente de l'ingénieur Constam a obtenu un vif succès dès sa mise en marche. [...] Le téléphérique et le 'téléski' du Mont-Revard [...] De plus, un monte-pente ou 'téléski' desservira des champs de ski qui seront éclairés la nuit.» La R. du ski, n° 1, janv., XXXIV et n° 9, nov., 267 - C.T.
1935 - «Système nouveau ... monte-pente Bleichert-Constam.» La Montagne, n° 274, déc., Publ - C.T.
1936 - «En vrais sportifs nous n'usâmes que très modérément du monte-pente Bull. de la section vosgienne du Club alpin, n° 13, 18 - M.J.
1937 - «MONTE-PENTE syst. Bleichert-Constam. Solution éminemment sportive Gros débit. Exploitation économique.» La Montagne, n° 285, janv., Publ., III - C.T.
1938 - «Et vous, 'skieurs-de-téléphérique', affûtez dès maintenant vos carres d'acier, l'on construit à Vars, à votre intention : hôtels, 'télé-autoski' et monte-pentes La R. du ski , ,n° 5, avr., 108 - C.T.
1938 - «Or, un industriel niçois, M. Pérot, vient de créer un monte-pente collectif d'un modèle entièrement nouveau : c'est un traîneau automoteur qui se hisse le long d'un câble-guide, exactement comme les toueurs, qui remontent le Rhône, malgré la violence du courant, en se hâlant sur un câble immergé.» Ski-Sports d'hiver, n° 52, janv., 116 - C.T.
remonte-pente, remonte-pentes n.m. SKI - RSp., GR[85], TLF, 1941, L'Auto ; FEW (6/III, 111a), GLLF, 1949, Lar. ; DMC, cit. L'Express, 1965.
1936 - «Il s'agit simplement de se mettre sur le parcours du remonte-pente et dès que le câble, qui marche sans arrêts, passe à côté de vous, on met vite le crochet dans l'anneau et on se sent emporté tout doucement, tiré par la taille.» Ski-Sports d'hiver, n° 41, oct., 260 - C.T.
1937 - «Megève Téléphérique de Rochebrune [...] Remonte-pente Sur le plateau de Rochebrune 1880 m.» La R. du ski, n° 10, déc., Publ., [4] - C.T.
1939 - «Le Syndicat d'Initiatives d'Argentière nous fait savoir qu'une piste de descente a été aménagée entre l'hôtel de Lognan et un point voisin du tremplin d'Argentière. Un remonte-pente du Tour à Charamillon a été également mis en service.» La Montagne, n° 304, Publ., VII - C.T.
savonneuse (pente -) loc. nom. f. non conv. ÉVÉN. "fig." - TLF, cit. L. Daudet, 1915 ; GLLF, 1964, Rob. ; GR[85], ø d.
• escalier savonné
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1900 - «Pour tout le reste, de degré en degré, il avait descendu jusqu'à la lie l'escalier savonné des concessions, come disait la semaine dernière je ne sais plus lequel de nos braves centre-gauchers.» A. AllaisNe nous frappons pas, 1026 (Laffont, Coll. Bouquins) - P.R.