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appuie-livres, appui-livres n.m. ÉQUIP. BUR. - Lex.[79], v.1850 (?) ; FEW (25, 43b), 1948, Lar. ; GLLF, mil. 20e ; GR[85], v.1970.
1891 - «Appui-livres [...]» Le Charivari, 28 juill., 4b, Annonce - M.B.
1935 - Sachs-VillatteEnzyklopädisches französisch-deutsches [...] Wörterbuch, Teil I (Berlin) - M.B.
auto-monte-pente n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1938 - «M. Pérot, qui a déjà d'importantes commandes en cours d'exécution, aura, dès cet hiver, plusieurs auto-monte-pente en service dans des centres importants. Nous aurons donc l'occasion de reparler de ce nouvel auto-monte-pente qui est peut-être bien appelé, en raison de ses avantages, à obtenir les préférences des stations le plus en vogue comme des stations les plus modestes.» Ski-Sports d'hiver, n° 52, janv., 117 - C.T.
Cf. remonte-pente
coyon de mille livres loc. nom. m. HIST. FR.  "homme de main de Concini" - absent TLF.
1617 - «[...] ie n'ay iamais voulut estre coyon de mil liures Le Discours de Bruscambille, 4 (Champenois) - P.E.
Compl.Hu (D'Aub.)
1619 - «Enay. Qu'appelez-vous coyon de mille livres ? - F. Ce sont quarante Gentiushommes, et quauques Signurs parmi, à qui Monsur leu Maneschal donne mille libres et bouche à cour, pour se tenir prés de sa personne, et selon qu'ils se rendent sujets, il lur fait du vien d'aillurs.» D'Aubigné, Avantures du baron de Faeneste, in D'AubignéOeuvres, III, XX, 761 (Gallimard) - P.E.
dévoreur de livres loc. nom. m. LOISIRS  "grand lecteur" - L, Lex.[79], ø d dévoreuse : L, DG, TLF, GR[85] (cit.), 1690, Mme de Sév.
1616 - «[...] les Chinois sont de vrais deuoreurs de liures, principalement s'ils contiennent quelque nouueauté [...]» D.F. de Riquebourg-Trigault, trad. : N. TrigaultHist. de l'expédition chrestienne au royaume de la Chine, 285 (Cardon) - P.E.
entre-deux-livres n.m. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1986 - «Circonscrire le territoire qu'il faudra lentement découvrir lorsqu'on aura commencé d'écrire [...] c'est à cela qu'est voué le temps de l'entre-deux-livres où s'élabore un sujet. De ce territoire, tout juste sait-on alors ce qu'il ne doit pas être. Et parce qu'on ignore presque tout et des voies qui permettent de l'atteindre et des paysages qu'on y découvrira, l'entre-deux-livres est un temps d'extrême disponibilité et d'extrême attention à tous les signaux propres à vous orienter.» La Quinzaine littéraire, n° 459, 16 mars, 26 - K.G.
filin monte-charge loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1959 - «Pierrot et Bernard montent le matériel jusqu'à l'écaille à l'aide du filin monte-charge La Montagne et alpinisme, numéro 25, déc., 147 - C.T.
livres (faire de 100 sous 4 -, et de 4 - rien) loc. verb. ARGENT  "dissiper son bien" - L, ø d ; absent TLF.
1683 - «Boucard me propose un receveur : il me semble que de cette manière on fait de cent sous quatre livres, et de quatre livres rien ; ne connoissez-vous point cette manière de parler ?» Mme de SévignéLet., à M., Mme de Guitaut , 30 mars, II, 930 (Ed. Gérard-Gailly) - Nies.
1690 - «On dit proverbialement en ce sens, qu'un homme fait de cent sous quatre livres, et de quatre livres rien, lorsqu'il perd sur les ventes et achats de ses marchandises, ou qu'il se ruine en pensant faire le bon mesnager.» FuretièreDict.
monte-au-ciel (à la -) loc. adj. COIFF. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1773 - «Vous êtes charmant aujourd'hui, venait de lui dire la Mère de DÉLIÉE, en lui voyant la tête garnie de petites boucles, surmontées d'un toupet à-la-monte-au-ciel, qui formait un obélisque de neige pisseuse d'environ demi-piéd de haut.» Restif de La BretonneLe Ménage parisien, part. 1, ch. 8, 93 (Coll. 10/18, 1978) - R.R.
monte-charge n.m. MANUT. - GLLF, 1878, Lar. ; DG (néol.), FEW (6/III, 112a), 1890-1900.
Compl.PR[73] (1862) et TLF (mêmes réf., ø texte)
1862 - «Sur les deux côtés sont placés deux monte-charges : celui de droite est destiné exclusivement à l'usage des voyageurs que pourraient (sic) fatiguer la montée ordinaire par les escaliers ; celui de gauche monte les bagages.» Le Musée des familles, Compl., août, 69 - A.R.-J.De.
monte-plat, monte-plats n.m. ÉCON. DOM. - TLF, 1876, Chabat ; DDL 12, GR[85], 1878 ; DG (néol.), FEW (6/III, 112a), GLLF, Lex.[79], 1893.
1875 - Bottin, in DarmesteterDe la Création actuelle de mots nouv. dans la langue fr., 164 (Réimpr. de l'éd. de Paris 1877, Genève, Slatkine, 1972) - M.B.
monte-plats n.m. ÉCON. DOM. - TLF, 1876, Chabat ; PR[67], BW5, ND2, fin 19e ; DG (néol.), FEW (6/III, 112a). 1890-1900.
*1894 - Sachs-VillatteFranzösisch-deutsches Supplement-Lexikon (Berlin) - M.H.
monte-plats n.m. ÉCON. DOM. - TLF, 1876, Chabat ; DG (néol.), FEW (6/III, 112a), GLLF, 1893 ; DDL 4, 1894, Sachs-Villatte ; BW5, ND3, PR[73], fin 19e.
*1878 - «[...] un rez-de-chaussée composé d'un grand salon, de deux petits salons, d'une salle à manger et d'un office avec monte-plats [...]» Paris-Diamant, Suppl. publicitaire, Annonce, 101 - P.E.
monte-à-regret (aller à -) loc. verb. arg. , non conv. JUST. "être pendu" - TLF (aller à l'abbaye de monte-à-regret), cit. E. Sue, 1844 abbaye de monte-à-regret, n.f. "potence" : DEL, GR[85], DArg., BEI, 1628 ; TLF, cit., 1828-29 ; FEW (6/III, 112a), 1845, Besch. ; L, ø d
1634 - «Lestoc [...] ie me trouuay vne fois à Marseille tout prest d'aller à Mont'-à-regret pour auoir tué vn soldat des Galeres comme il dormoit [...]» Trad. : [A.J. de Salas Barbadillo]Le Matois mary, 241 (Billaine) - P.E.
pain de quatre livres loc. nom. m. BOULANG. - TLF, ø d.
1770 - «[...] je ferais fusilier le premier qui s'aviserait d'emporter un pain de quatre livres hors des portes. [...] Le résultat de tout ce spectacle horrible a été pour moi cette vérité très simple, c'est que les hommes tant que vous ne pouvez pas l'empêcher, suivent le pain partout où il est : de sorte que s'il ne restait qu'un pain de quatre livres dans une ville, on y verrait une procession assez curieuse, elle serait à rebours des autres.» Abbé F. GalianiDialogues sur le commerce des bleds, 39 et 55 - FXT
1783 - «Quand on fait l'inventaire au quatrieme étage, le boulanger voisin se présente réclamant le prix de sept à huit pains de quatre livres L.-S. MercierTableau de Paris, t. 5-8, 130 - FXT
1793 - «Les boulangers de Paris demandent le rapport de l'arrêté qui fixe à douze sous le prix du pain de quatre livres Gazette nationale, n° 42, 11 févr., 193c - P.E.
1793 - «Après avoir tant jetté de pains de quatre livres à l'eau [...].» HébertLe Père Duchesne, n° 284, 6 (EDHIS) - P.E.