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faux-montant n.m. SPECT. - absent TLF.
Compl.Hu, FEW, E
1596 - «/Ces mercelots/ m'apprindrent à faire de mon baston le faux montant [...] et plusieurs autres bons tours [...] c'est un tour de baston subtil.» Pechon de Ruby, Vie généreuse, 9 - Fr. mod., 15, 193.
montant n.m. JARD. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
• montan
1716 - «C'est un légume qu'on nomme montans de cardes [...]» Cuisinier royal et bourgeois , I, 422 - F.R.-R.S.
1739 - «Montans de laitues Romaines [...]» Nouv. traité de la cuis., II - F.R.-R.S.
train montant loc. nom. m. CH. DE FER "train s'éloignant de Paris" - TLF, cit. A. Daudet, 1883 1868, Littré, in GLLF, désigne le "train qui va de la mer vers Paris" ; cf. L, FEW (6/III, 107b)
1864 - «Lorsque les lignes ont deux voies, ce qui est le cas général du réseau français, l'une est exclusivement affectée aux trains montans, c'est-à-dire s'éloignant de Paris, et l'autre aux trains descendans, ou revenant vers Paris. Ce sont les expressions consacrées, justes ou non, par lesquelles on désigne dans tout un service les deux directions contraires. On monte vers Strasbourg et Lille, on descend vers Paris.» J. Gaudry, in R. des deux mondes, t.51, 15 juin, 952 - M.C.
1890 - «Pourtant, cette idée du flot de foule que les trains montants et descendants charriaient quotidiennement devant elle, au milieu du grand silence de sa solitude, la laissait pensive, les regards sur la voie, où tombait la nuit. [...] Quand il soufflait dans sa trompe, une fois pour les trains descendants, deux fois pour les trains montants, il cherchait [...]» Zola, La Bête humaine, in Zola, Les Rougon-Macquart, 34 et 244 (Fasquelle, 1953) - FRANTEXT
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