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aristo-monarchique adj. SOCIOPOLIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1753 - «La constitution de l'Eglise est Aristo-Monarchique. Le pouvoir Législatif réside dans les Prélats assemblés. Le pouvoir de juger, de dispenser, d'expliquer, réside dans le Souverain Pontife.»[L.-A. de La Beaumelle d'Alais], Mes Pensées, 244-5 (7e éd., Berlin) - J.S.
club monarchique loc. nom. m. HIST. RÉVOL. - absent TLF.
Add.DDL
*1801 - «Le parti vraiment constitutionnel, voyant que le Club des Jacobins devenait plus puissant et plus nombreux de jour en jour, établirent /sic / de leur côté un Club Monarchique rue de Ventadour. Mais on pénétra dans leur salle ; et ils en furent chassés fort civilement à coups de pieux. Les insensés ! Quelle était leur dessein ? de parer, disaient-ils, les coups qu'on voulait porter à la Monarchie.» Cousin Jacques, Dict. néol. (Moutardier) - LTP
club monarchique loc. nom. m. HIST. RÉVOL. - DDL 11, 1801, Cousin Jacques ; absent TLF.
1790 - «On veut former un club... sous le nom de Club-Monarchique...» Jean Bart, n° 96, 4 - P.E.
1791 - «On a choisi des membres du club monarchique, des hommes que le peuple est accoutumé à détester et plus encore à mépriser.» Duport, let., in Marie-Antoinette et Barnave, Corresp. secrète, 206 (A. Colin) - P.E.
club monarchique loc. nom. m. HIST. RÉVOL. - DDL 11, 1801, Cousin Jacques ; absent TLF.
• club des monarchistes - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1791 - «Votre réputation ne sent pas le baume, sur-tout depuis la belle institution du club des monarchistes [...]» Jean Bart, n° 165, 7 - P.E.
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