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attique (miel -) loc. nom. m. "/par allusion aux abeilles de l'Hymette/" - TLF, GR[85], av. 1560, Du Bellay.
1552 - «C'est celuy qui aux Loix severes / A faict gouster l'Attique miel [...].» Ronsard, Oeuvres complètes, III, 161 (Droz, STFM) - P.E.
capote (miel de -) loc. nom. rég. Suisse APIC. "miel de la hausse, de meilleure qualité" - In GPSR, ø d ; absent TLF.
1867 - «Nous vendons presque tout notre miel en rayons (bien beaux) et n'avons pas touché à notre miel de capote pour notre usage, nous avons pris le miel de l'intérieur de la ruche pour notre usage.» Th. Bost, in Ch.M. Bost (éd.), Les Derniers puritains pionniers d'Amérique, 334 (Paris, Hachette, 1977) - P.R.
galant de miel loc. nom. m. BOT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1833 - «Le gnidia ou galant de miel, le volcaméria sont fleuris.» Z. Carraud, in Balzac, Corresp., 2, 331 (Pierrot) - P.W.
guide du miel loc. nom. m. ORNITH. - FEW (17, 602a), 1829, Boiste ; absent TLF.
1817 - Nouv. dict. d'hist. nat., XIV, 33 (Deterville) - R. L. rom., 41, 425.
miel (être tout - et toute douceur) loc. verb. CARACT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1872 - «Le révolutionnaire [Blanqui] est tout miel et toute douceur ; à côté de lui, ses fidèles : Tridon, qui devait mourir d'épuisement en laissant sa fortune à son collaborateur Eudes ; Regnard le théophobe [...]» R. Simon, in Le Gaulois, 16 févr., B.N., Mss., nouv. acq. fr., 9592/3, 71 recto - J.Hé.
miel d'ours loc. nom. m. US. ALIM. "miel sauvage" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1887 - «Le père Noé [...] leur prenait à chaque printemps quelques rayons de miel, du miel sauvage, du miel d'ours dont il nous faisait des tartines.» P. Arène, Le champ du feu, in P. Arène, Contes de Paris et de la Provence, 206 (Lemerre) - J.C.
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