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concul-puissance n.f. plais. CARACT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1944 - «Encore un satyre. Venez donc voir dans ce coin-là qu'il lui dit à la petite, venez donc voir s'il est pas caché par là. Petit petit petit. L'innocente le suit. Le salaud ferme la porte derrière lui et commence à relever les babines avec concul-puissance. Oh ! le vilain sagouin. La petite y passerait sans doute si Jacques n'entrait pas là comme par hasard.» QueneauLoin de Rueil, 42 (Gallimard, 1946) - TGLF
maxi adj. abrév.  de maximumnon conv.  MESURE - GR[92], v. 1970 ; DMC, cit. L'Express, 1973 ; absent TLF.
1963 - «D'un côté les trav's, dix quinze piges si les jurés sont féroces, de l'autre un plafond maxi de cinq ans.» BoudardLa Cerise, 277 (Plon) - K.G.
*1974 - «Ca vous agresse dans l'escalier ... le jerk, la pop que sais-je ... la sono maxi [...]» BoudardCinoche, 134 (La Table Ronde) - K.G.
maxi adv. abrév.  de maximumnon conv.  MESURE - >GR[92], v. 1970 ; DMC, cit. Le Point, 1974 ; absent TLF.
Add.DDL :
*1974 - «à force de remplir maxi les minutes, on devient de vraies souteneuses de patronat !» ThérameHosto-blues, 107 (Ed. des Femmes) - K.G.
maxi n.m. abrév.  de maximumnon conv.  MESURE - TLF, 1908, Esnault ; FEW (6/I, 563a), 1960 ; DMC, cit. Cellard, 1978.
• maxo
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1978 - L'Aurore, 21 oct., in Dico-Plus, numéro 8, 23 - K.G.
maxi adv. abrév.  de maximumnon conv. MESURE - GR[85], 1970 ; DDL 23, 1974, Thérame ; absent TLF.
1949 - «Mon cher Monnier, Ci-joint lettre intéressante maxi bafouilleuse.» Céline, let., 5 déc., in P. MonnierFerdinand furieux, 86 (L'Age d'homme) - P.E.
maxi-monde adj. CARACT. "mondain" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1974 - «[...] et la gouvernante juchée sur ses talons qui demande, affublée de son sourire maxi-monde, qui a demandé un taxi [...]» V. ThérameHosto-blues, 24 (Ed. des Femmes) - K.G.
puissance n.f. MINES - L (cit.), GLLF, 1807, Brongniart ; TLF, cit. Haton de La Goupillière, 1905 ; Lex.[79], ø d.
1794-95 - «On appelle [...] puissance, leur épaisseur [des veines] marquée par une ligne perpendiculaire à leur inclinaison.» Journ. des mines, numéro 16, 42 - P.W.
puissance coercitive loc. nom. f. ÉLECTR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1838 - «Sur la puissance coercitive que donne la décharge électrique en traversant des barreaux d'acier dans leur longueur.» Peltier, in L'Institut, VI, 223 - P.P.
puissance de l'Etat loc. nom. f. POLIT. - TLF, ø d.
1788 - «Puissance de l'Etat : On désigne par ce mot tous les moyens, dont la réunion produit les forces et les ressources nécessaires à un Etat pour se faire respecter des autres, se défendre contre leurs attaques et faire valoir dans le besoin, les droits et les prétentions qu'il peut avoir à leur charge [...]» DémeunierEncycl. méthodique (Paris) - LTP
puissance invitante loc. nom. f. POLIT. "puissance qui fait une invitation" - TLF, cit. De Gaulle, 1959 ; GLLF, GR[85], mil. 20e.
1945 - «La France avait été invitée à être puissance invitante R. Aron, in Les Temps modernes, n° 1, oct., 96 - P.E.
puissance mécanique loc. nom. f. PHYS. - TLF, ø d.
1829 - «J'ai employé dans cet ouvrage quelques dénominations nouvelles : je désigne par le nom de travail la quantité qu'on appelle assez communément puissance mécanique, quantité d'action ou effet dynamique (**), et je propose le nom de dynamode pour l'unité de cette quantité [...] (**) Ce mot de travail vient si naturellement dans le sens où je l'emploie, que, sans qu'il ait été ni proposé, ni reconnu comme expression technique, cependant il a été employé accidentellement par M. Navier, dans ses notes sur Bélidor [Architecture Hydraulique], et par M. de Prony dans son Mémoire sur les expériences de la machine du Gros-Caillou G. CoriolisTraité de la mécanique des corps solides et du calcul de l'effet des machines, Avertissement à la 1ère éd., IX (2e éd., Carilian-Goeury et Vve Dalmont, 1844) - P.P.
1875 - «PUISSANCE s.f. [...] Mécan. Force, cause de mouvement : PUISSANCE mécanique Lar. GDUaussi dans : Nouv. Lar. illustré, 1904 - TGLPF
puissance productive loc. nom. f. INDUSTR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1862 - «Pour écarter toute équivoque, et, autant qu'il dépend de moi, toute obscurité, j'essaie d'indiquer le sens précis de ces mots : la puissance productive. Par là nous entendrons, pour chaque industrie, la quantité de produits d'une qualité spécifiée que rend le travail moyen d'un homme dans un laps de temps déterminé, comme serait une journée ordinaire de travail. On pourrait tout aussi bien prendre une année. Ainsi, dans l'industrie du fer, si une forge composée de cent hommes, faisant les diverses opérations, en partant de la fonte brute jusqu'à la livraison des barres d'un échantillon fixe, produit dans l'année 10,000 tonnes de fer ou 10 millions de kilogrammes, la puissance productive de chaque homme sera de 100 tonnes par an, ou, en supposant trois cents jours de travail, de 333 kilogrammes par jour.» M. Chevalier, in R. des deux mondes, t.42, 1er nov., 13 - M.C.