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marcheur n.m. POLIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1965 - «Les marcheurs ont organisé leur manifestation comme une véritable opération stratégique. Ils ont des tentes pour dormir, des cuisines roulantes qui fourniront des repas chauds et, aussi, des hôpitaux de campagne pourvus de tous les médicaments nécessaires.» L'Aurore, 10 mars, 6 - D.J.
marcheur n.m. SPORTS - TLF, cit. Michelet, 1834 ; RSp., 1903, L'Auto ; Lex.[79], ø d.
1821 - «[...] le récit que l'on trouve dans un journal anglais, du pari qui vient d'être gagné par un célèbre marcheur d'Albion, nommé John Halton. Cet homme a fait plus de quatre lieues en une heure, et gagné 600 guinées.» L. Montigny, Fragmens d'un miroir brisé, 32 (Ponthieu) - P.E.
marcheur (vieux -) loc. nom. m. péjor. ÉROT. "galant." - FEW (16, 531b), PR[72], 1899 ; TLF, cit. Vailland, 1945.
1898 - «Vous savez, mon vieux Roupy, moi, je n'aime que les petites femmes [...] Toujours le Vieux Marcheur, alors ?» G. de Téramond, La Petite Zaza, I, i - B.T.
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