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assurance maladie n.f. LÉGISL. SOC. - Lex.[75], PR[77], TLF, ø d.
• assurance-maladie
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1909 - «D'après la statistique établie par la caisse d'assurance-maladie de Berlin [...]» J. Brunhes, in Bull. des ligues sociales d'acheteurs, 4e trim., 178 - P.E.
fuite dans la maladie loc. nom. f. PSYCHANAL. - TLF, GR[85], ø d ; in Laplanche [1967].
1914 - «Cette conception de l'autisme rattache Bleuler non seulement à l'Ecole de Zurich mais à toute l'Ecole de Freud, ces deux Ecoles faisant consister toute Névrose comme toute Psychose dans un désintéressement plus ou moins complet de la réalité extérieure et, suivant l'expression de Freud, dans une 'fuite dans la maladie'.» A. Hesnard, Les théories psychologiques et métapsychiatriques de la démence précoce, in Journ. de psychol., 11e année, 58, note - M.C.
1923 - «Sans aller aussi loin que Maeder qui apporte à l'explication des psychoses une conception téléologique, il semble bien qu'il doive exister, selon l'expression de cet auteur, une 'volonté de maladie' (Will zur Krankheit), la psychose ayant été une compensation contre une existence jugée incomplète et ayant réalisé d'une manière détournée les secrets désirs de la malade. Il y eut vraiment 'fuite dans la maladie'.» H. Claude, A. Borel et G. Robin, A propos d'une bouffée délirante à contenu symbolique, in Annales médico-psychol., II, 227 - M.C.
maladie bleue loc. nom. f. MÉD.  "cyanose" - FEW (6/I, 90b), 1840, Acad., Compl. ; TLF, cit. Besch., 1845 ; L, ø d ; ND2, 1953, Lar.
Add.DDL :
*1837 - «L'hypertrophie du thymus peut-elle être aussi une cause de cyanose ? M. Haugsteb cite dans son mémoire l'exemple rapporté par M. Ribes, qui trouva sur le cadavre d'un enfant de quatre ans, atteint de la maladie bleue, et qui y succomba, cet organe plus volumineux que dans l'état normal.»Dr Ollivier, in C.M. BillardTraité des maladies des enfants, 617, note (3e éd.) - C.H.
maladie bleue loc. nom. f. MÉD. "cyanose" - DDL 8, 1837 [repris in GR] ; FEW (6/I, 90b), 1840, Compl. Acad. ; TLF, 1845, Besch. ; L, GLLF, ø d.
1814 - In titre : E. GintracRecherches analytiques sur divers affections [...] que l'on a désignées sous les noms de cyanose ou maladie bleue - P.W.
maladie de Montfaucon loc. nom. f. non conv. CRIMES "pendaison" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1619 - «[...] aussi bien cas-auenant que leur Marmitte se renuersast, vous n'auez pas le nez d'y fournir de nouuelles morfailleries, vu que vous estes à la derniere carte et en danger d'estre Capot (ce que Dieu ne vueille, pour vous garantir de la maladrie de Mont faulcon).» Response du Paysan au libelle intitulé Le Bourgeois, 7-8 (Au Chesne verd) - P.E.
maladie des Antilles loc. nom. f. MÉD. "maladie vénérienne" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1769 - «La maladie des Antilles est endémique dans certains cantons de cette partie du monde ; mais elle y est d'une curation facile.» Restif de La BretonneLe Pornographe, part. 2, note A, 299 (Londres, chez Nourse ; Paris, chez Delalain) - R.R.
Cf. mal d'Haïti, virus d'Haïti, DDL 31.
maladie des chats loc. nom. f. MÉD. VÉTÉR. - FEW (6/I, 90b), 1855, Nysten-Littré ; L, ø d ; absent TLF.
1836 - «Nous devons [...] faire mention ici d'une affection spéciale qui attaque les chats, et que l'on désigne sous le nom insignifiant de maladie des chats. Cette maladie, qui paraît régner quelquefois, sous forme épizootique, a la plus grande analogie, par ses symptômes et ses lésions, avec la maladie dite des chiens ; elle n'en diffère qu'en ce que, chez les chats, cette affection ne se termine jamais par la chorée [...]»J. BeugnotDict. usuel de chir. et de méd. vétér., II, 270a - C.H.
maladie des chiens loc. nom. f. MÉD. VÉTÉR. - FEW (6/I, 90b), 1855, Nysten-Littré ; L, ø d ; absent TLF.
1835 - «La GASTRO-BRONCHITE, ou maladie des chiens, a fréquemment présenté le caractère épizootique.»J. BeugnotDict. usuel de chir. et de méd. vétér., I, 396a - C.H.
1836 - «MALADIE DES CHIENS, maladie très-commune, très-meurtrière, qui paraît avoir été apportée d'Angleterre en France vers la fin de 1733. [...] C'est une fièvre muqueuse sui generis que l'on peut comparer au croup si fatal aux enfans les plus robustes.»Thiébaut de Berneaud, in F.-E. GuérinDict. pittoresque d'hist. nat., IV, 595-6 - C.H.
maladie du scrupule loc. nom. f. PSYCHOPATHOL. - FEW (11, 344a), 1907, Lar. ; GR[85], cit. J. Renard, 1910 ; TLF, cit. Piéron, 1973.
1902 - «Si cette conception est vraie, si c'est non parce qu'ils rougissent, mais parce qu'ils ont honte de rougir que se développe l'obsession, il faudra, avec M. Janet, rapprocher l'éreutophobie de ces 'maladies du scrupule' dont cet auteur vient d'esquisser l'histoire avec tant de finesse et de sens psychologique 1 [...] [Note 1] Cependant les éreutophobiques se distinguent des scrupuleux en ce qu'ils ne croient pas avoir commis réellement d'actions honteuses.» E. Claparède, in Arch. de psychol., t.1, 324 - M.C.
maladie-mère n.f. MÉD. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1849 - «[...] nous commencerons par l'histoire générale de ces maladies-mères, et puis toutes les fois qu'il en devra être question en parcourant les différentes régions, nous renverrons à l'exposé préliminaire de leurs principes fondamentaux [...]» BossuAnthropologie, II, 5 (Baillière) - P.E.
naviculaire (maladie -) loc. nom. f. MÉD. VÉTÉR. - FEW (7, 61b), 1855, Nysten-Littré ; L, ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1836 - «[...] cette membrane synoviale peut être contuse ; une inflammation survient, puis une véritable ulcération qui peut s'étendre au cartilage d'encroûtement de l'os naviculaire, atteindre et corroder l'os lui-même ; c'est ce qui constitue l'affection connue chez le cheval, sous le nom de Maladie NaviculaireJ. BeugnotDict. usuel de chir. et de méd. vétér., II, 367a - C.H.
tremblante (maladie -) loc. nom. f. MÉD. VÉTÉR. - TLF, 1836, Beugnot (même texte) ; FEW (13/II, 242a), PR[72], 1855, Nysten-Littré ; L, ø d.
1836 - «La deuxième maladie, particulière au mouton, et que M. Girard a observée, est désignée sous le nom de tremblante, ou affection nerveuse. Elle se manifeste par une inflammation peu intense, qui est promptement suivie d'atonie. Un prurit considérable et presque général annonce l'invasion de cette maladie ; à ce symptôme succède une faiblesse remarquable des reins, qui est bientôt elle ême suivie d'une paralysie complète.»J. BeugnotDict. usuel de chir. et de méd. vétér., II, 311b (s.v. moelle épinière) - C.H.
wagnérienne (maladie -) loc. nom. f. Anthroponymesur R. Wagnerplais.  MUS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1893 - «Lecoq, d'après certains, Nuitter entre autres, serait encore responsable d'une plaquette imprimée en 1893 chez Paul Dupont et qui s'intitulait : Des maladies wagnériennes ; de leur traitement et de leur guérison, par le docteur Amiculus. L'auteur divise ces affections en quatre espèces : la wagnériole, la wagnéromanie, la wagnéralgie et la wagnérite. Comme moyen curatif, il préconise le 'baume de Mozart', les bains de sons consonnants, le sirop d'accords parfaits [...] somme toute, cette plaquette est assez spirituelle et tout-à-fait dépourvue de méchanceté ...» X. de Courville, in R. musicale, oct., 189 (1923) - P.E.