Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme

options d'affichagecatégorie :
ah ça mais loc. interj. non conv. EXCLAM. - TLF, cit. E. Sue, 1831 ; Lex.[79][79], GR[85], ø d.
1791 - «LE P. GERARD. Ah ça ! mais je me rafraîchirois ben un coup.» Le Retour du père Gérard à sa ferme, 31 (Bureau du Patriote fr.) - P.E.
1792 - «NICOLAS. Ah ! Je te dis que nous v'là au pas !... et t'as affaire à un bon Ecoyer... (a part) quoique ça y me semble que ça m'écorche la bouche en passant. Je croyons toujours l'y dire queuque sottise ! s'il allait prendre ça de travers !... (haut), ah ça mais, c'est ti vraiment tout de bon ? là ? dittes nous vote dernier mot.» DorvignyLa Parfaite égalité, 13 (Barba) - P.E.
1795 - «DUCHEMIN. Ah ça mais, quand on se marie, on danse ; est-ce que nous n'aurons pas le petit bal champêtre ?» Radet, Honorine, in La France dramatique au dix-neuvième siècle, Vaudeville, 589 (Barba, 1838) - P.E.
1799 - «Ah ça, mais, j'espère bien qu'on va lui faire descendre la garde, à ce beau muguet-là.» La Grande visite du père Duchêne à Barras, in [R.F. Lebois]Le Père Duchêne, [numéro 3], 6 - P.E.
1802 - «GUIGNOLET, sautant de joie. Trente mille francs aussi ! [...] Ah ça, mais, mon cher M. Craquignard, ça n'est ti pas une craque que vous me glissez-là, vous ?» DorvignyNitouche et Guignolet, 22 (Barba) - P.E.
1803 - «GEORGET. C'est ça que je demande... Ah ça ! mais, dites moi donc, citoyen, qu'étiez l'ami de mon oncle, est-ce qu'en attendant ce cousin-là, je ne pourrais pas déjeûner ici, à compte sur la succession ?» [Dorvigny]Le Niais de Sologne, 12 (Barba) - P.E.
1804 - «JOCRISSE. Ah ! ça mais pas de bêtises, c'est ça que tu appelles une cuisinière et une jardinière ; pardine, je crois ben qu'ça ne mange pas. Je l'ai fièrement gobé, tout d'même.» Sidony et ServièresJocrisse suicide, 6 (Masson) - P.E.
1804 - «LAVIGNE. Ah ! ça, mais comment diable avez-vous fait pour être si bien logées, et à Paris, encore ?» DésaugiersC'est ma femme, 16 (Cavanagh) - P.E.
1806 - «LAROCHE. Ah ! ça, mais donc une déclaration de guerre ?» Francis, Tournay, DésaugiersLe Vieux chasseur, 42 (Barba) - P.E.
1810 - «GREGOIRE [...] Ah ! ça mais mon estomac sonne creux. Un petit verre de quelque chose ne me ferait point mal.» Merle et DésessartsM. Grégoire, 9 (Barba) - P.E.
commencer : on sait quand ça commence, mais (...) jamais quand ça finira loc. phrast. PHRASÉOL. "pour exprimer l'issue incertaine d'un processus" - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1829 - «"[...] lorsqu'on est en galas [...], on sait bien quand ça commence, mais on ne sait jamais quand ça finira...".» VidocqMém., 4, 186 (Tenon) - P.R.
mais (il n'y a pas de -) loc. phrast. non conv. PHRASÉOL. - DELF, GR[85] et TLF (y a pas d'mais), cit. Barbusse, 1916.
1793 - «[...] haro, haro ! aux armes, aux armes : foutre, il n'est plus temps de tortiller du cul, sacré mille zieux ! Français, qui que tu sois, dès que tu es français, dès que tu n'es pas un foutu capon, il faut que tu marches : il n'y a pas de mais... tu marcheras, ou sinon...» Le Rougyff, n° 15, 213e jour de l'égalité, 2b - P.E.
mais (il n'y a pas de si, ni de -) loc. phrast. non conv. PHRASÉOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1801 - «SCAPIN. Si, si. NIGAUDIN. Il n'y a pas de si, ni de mais à cela ; je vous répète que mamzelle est là-haut à travailler. SCAPIN. Bené, bené ! NIGAUDIN. Il n'y a pas de benêt non plus.» Marsollier et ChazetLe Joueur d'échecs, 5 (Masson) - P.E.
non, mais loc. adv. non conv. EXCLAM. - TLF, cit. Feydeau, 1914 ; GR[85], cit. Benjamin, 1915 ; Lex.[79], ø d.
1791 - «Sacrées mille buches de bois blanc ! moi qui ne jure jamais, foutre ! quand je vois tout cela, il y a de quoi foutre ma perruque en ribotte jusqu'au 14 juillet. Non ! mais quand je dis... Les bougres sont là comme des écoliers de sixieme, foutre ! qui arrivent en classe sans avoir fait leur mâtin de thême [...]» Conseil pacifique du père Duchesne, in Le Véritable P. Duchesne f., 1 - P.E.
1796 - «BERTRAND seul. Non, mais j' dis, n'y aurait qu'à l'i conter ça... Qu'eu qui sçait ?» Pigault-LebrunLes Sabotiers, 9 (Huet) - P.E.
1798 - «NICAISE [...] Non, mais, j' dis, c'est q' c'est humiliant, ces propos-là.» Beffroy de ReignyUn Rien, ou l'Habit de noces, 4 (Bureau Dramatique) - P.E.
1799 - «Eh bien, je dis, qu'en pensez vous [d'une chanson] ? Je crois qu'elle est moustache ; non, mais c'est que quand je fais quelque chose, je veux que ce soit aux oiseaux [R.F. Lebois]Le Père Duchêne , [numéro 2], 8 - P.E.
1809 - «DUMOLLET. Je triomphe. Hé bien ! crois-tu qu'on m'aime à présent ? non, mais le crois-tu ?» DésaugiersLe Départ pour St-Malo, 28 (Masson) - P.E.
plutôt (mais -) loc. adv. ORGANISATION/RELATION "mais au contraire" - TLF (- plustost), DHR, 1585, N. du Fail.
1541 - «L'homme regeneré [...] haist et a en execration le peché qu'il commet par son imbecilité, il s'y desplaist, et n'y a point son consentement, mais plustost prend plaisir et delectation en la loy de Dieu [...].» J. CalvinInstitution de la religion chrestienne, 83 (Champion, 1911) - P.E.
quoi (mais - !) loc. interj. EXCLAM. "/pour marquer la surprise/" - GLLF, 1678, La Fontaine ; GR[85], cit. Volt. ; absent TLF.
• mais quoy
  - L, Mont. ; absent TLF.
1531 - «ATQVI vel atquin, Coniunctio, Voyre mais, mais quoy R. EstienneDictionarium, 52 r° (Ex officina Roberti Stephani) - P.E.
seulement (non - ... mais) loc. conj. PHRASÉOL. "/pour exprimer un renchérissement/" - GLLF, 1580, Mont. ; GR[85], cit. Volt. ; TLF, ø d.
• non point seulement ... mais
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
v. 1496 - «[...] se trouvèrent clercs de Provence qui vindrent mectre en avant certains testaments [...] disans que non point seullement la conté de Prouvence appartenoit audit roy, mais le royaulme de Cecille et aultres choses possedées par la maison d'Arragon [...].» Ph. de CommynesMémoires, III, 6 (Champion, 1924-25) - P.E.
seulement (non - ... mais) loc. conj. PHRASÉOL. "/pour exprimer un renchérissement/" - GLLF, 1580, Mont. ; GR[85], cit. Volt. ; TLF, ø d.
1534 - «Et non seulement d'ycelle, mais des aultres sciences mathematicques, comme Geometrie, Astronomie et Musicque [...].» F. RabelaisGargantua, 148 (Genève, Droz, 1970) - P.E.
1541 - «[...] ilz vivent tous d'un pot : lequel, sans telles aydes, non seulement se refroidiroit, mais geleroit du tout.» J. CalvinInstitution de la religion chrestienne, I, XV (Champion, 1911) - P.E.
1549 - «[...] les Romains [...] qui tachoint non seulement à subjuguer, mais à rendre toutes autres nations viles & abjectes aupres d'eux [...].» J. Du BellayLa Deffence et illustration de la langue française, 18 (Didier, STFM, 1948) - P.E.
1562 - «Il hauoit pour compaignon du commencement vn Raoul Monet, duquel nous hauions parle cy deuant, quil sembloit nonseullement fussent compaignons, mais freres iumeaux par nature & nourriture [...].» F. BonivardAdvis et devis de l'ancienne et nouvelle police de Genève, suivis des advis et devis de noblesse, 101 (Genève, impr. Fick, 1865) - P.E.
çà (ah - mais) loc. interj. non conv. EXCLAM. - DDL 32, 1791 ; TLF, cit. Sue, 1831 ; GR[85], ø d.
1785 - «ANNETTE. Assis-toi, Basile, assis-toi. BASILE. Ah ! ça, mais est-ce que tu te mocques de moi ?» GuillemainAnnette et Basile, 7 (Petite bibl. des théâtres) - P.E.