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magistrature assise loc. nom. f. DR. "les juges" - TLF, 1839, Balzac ; L, GLLF, 1867 ; FEW (6/I, 45a), 1868, Littré [sic] ; DG, R, Lex.[75], PR[77], ø d.
1838 - «La comtesse regardait ses deux fils, l'un voué à la magistrature assise, et l'autre à la magistrature amovible, comme trop mal élevés pour leur permettre la moindre intimité avec leurs soeurs.» Balzac, Une Fille d'Eve, ch. I, in Le Siècle, 31 déc., [3e page], col. 1 - M.C.E.
magistrature du parquet loc. nom. f. DR. - FEW (6/I, 45a), 1868 (mais l'expression n'est pas chez Littré) ; R, ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1830 - «Vous avez fort bien plaidé certaines causes embrouillées ; et vous avez beaucoup plu ce soir à l'Archi-Chancelier. Vous vous destinez sans doute à la magistrature du parquet. Nous manquons de sujets.» Balzac, La Femme vertueuse, in Balzac, Scènes de la vie privée, t. II, 205 (Mame, Delaunay-Vallée et Levavasseur)orig. d'Une Double famille - M.C.E.
magistrature inamovible loc. nom. f. DR. "les juges" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1830 - «Ainsi, par les bontés du Roi, l'aîné de ses fils [du comte de Fontaine] parvint à une place fort éminente de la magistrature inamovible.» Balzac, Le Bal de Sceaux, in Balzac, Scènes de la vie privée, t. I, 282 (Mame, Delaunay-Vallée et Levavasseur) - M.C.E.
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