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lido n.m. d'apr. ital. GÉOGR. - TLF, 1856, Renaud [d'apr. DDL 12] ; GLLF, 1962, Lar. ; PR[73], Rs, 20e.
*1953 - «Bande de sable fermant complétement une baie, et pouvant isoler une lagune [...]» Lar. 20e, Suppl - K.S.
lido n.m. d'apr. ital. GÉOGR. - DDL 10, 1953, Lar. 20e ; GLLF, 1962, Lar. ; PR[73], Rs, 20e.
Add.DDL :
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
*1856 - «Toute la plaine qui entoure les ruines de cette ville antique est formée d'alluvions du Nil ; elle est séparée de la mer par un Lido ou cordon littoral de sable qu'il est impossible de confondre avec elle.» Renaud, in L. Figuier, L'Année scientifique et industrielle, I, 37 (Hachette) - P.E.
lido n.m. d'apr. ital. GÉOGR. - DDL 12, TLF, 1856 ; GLLF, Lex.[75], 1962, Lar. ; Rs, PR[77], 20e.
• lidi n.m. pl. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1893 - «Ce bassin de Vaccarès, bordé de plusieurs petits centres de population, était autrefois une baie frémissante de la Méditerranée ; actuellement ce n'est plus qu'une vaste mare saumâtre et impure, d'une profondeur de deux mètres au plus, et séparée seulement de la mer par un mince bourrelet de lidi sablonneux qu'entrecoupent de menus chenaux livrant passage à l'eau vive.» J. Gourdault, La France pittoresque, XXX, 416-7 - R.R.
lido n.m. d'apr. ital. GÉOGR. - DDL 12, TLF, 1856, Renaud [repris in GR] ; GLLF, 1962, Lar.
1728-29 - «Ces lido sont des langues de terre, étroites souvent de 12 à 15 pas, qui en sont comme la corde, et qu'on garantit de la force des eaux [...] par des piquets et des cailloux [...]» Montesquieu, Voy. de Gratz à La Haye, in Montesquieu, Oeuvres complètes, I, 557 (Pléiade, 1949) - A.Ré.
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