| ![]() ![]() ![]() ![]()
juguler v.tr. MÉD. "enrayer une maladie" - PR[72], ND2, 20e.
Add.DDL :
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
*1836 - «Ce médecin ne pense pas qu'on puisse juguler une maladie aiguë par des saignées abondantes.»Journ. de méd. et de chir. pratiques, VII, 512 - C.H.
*1836 - «De cette façon ils font avorter l'inflammation alors qu'il n'y a encore qu'engouement pulmonaire, et ils jugulent la maladie pour nous servir d'une expression qui est actuellement fréquemment employée en médecine humaine.»J. Beugnot, Dict. usuel de chir. et de méd. vétér., II, 497b - C.H.
*1935 - Acad., Dict., in Mots et dict. - C.H.
juguler v.tr. non conv. ARGENT "fig. : pressurer" - TLF, 1789, Cah. de doléances ; FEW (5, 60a), GLLF, 1829, Boiste ; BW5, 19e ; L, ø d ; ND3, PR[73], 20e.
*1811 - Wailly, Dict. - Mots et dict.
*1819 - «(fig.) pressurer, enlever tout l'argent (fam.) [...]» Boiste, Dict.
juguler v.tr. MÉD. "enrayer une maladie" - DDL 8, 1836 [repris in TLF, GR].
1829 - «Le médecin, poursuivant à coup de sangsues les douleurs, d'articulation en articulation, aura pu croire qu'il était enfin parvenu à juguler le mal, quand ce mal, épuisé par l'envahissement général du corps, se sera dissipé spontanément.» La Lancette française, n° 68, 7 avr., 270a - P.E.
|