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jeunisme n.m. SOCIOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1975 - «Il y avait d'abord le racisme, ce mépris pour certaines races prétendument inférieures. Il y avait aussi le sexisme, cette discrimination fondée sur le sexe, qui relègue les femmes dans des rôles subalternes. Voici maintenant le jeunisme, la haine des jeunes, qui se répand comme un nouveau fléau moral et social. Comme une psychose collective.» R.-G. Schwartzenberg, in Le Monde, 23 oct., 1 - J.Hé.-K.G.-AFC
1976 - «Voici peu, apparaissait, dans ce journal, un jeunisme qui nous valut quelques lettres pas précisément approbatrices. Pourquoi ce mot ? Quel sens lui donner au juste ? En bonne logique de langue, celui d'une adhésion aux modes de pensée et d'agir des 'jeunes', de même que le réalisme est l'attachement au réel, le naturisme et le naturalisme deux formes d'amour de la nature, le royalisme la conviction qu'un roi est la meilleure des choses, etc., etc. Eh bien non ! Le jeunisme, c'est l'hostilité systématique à l'égard des jeunes. Indiscutablement, le mot est construit sur un contresens.» J. Cellard, in Le Monde, 12 sept., 12 - AFC