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impec adj. abrév. de impeccablenon conv. VALEUR - GR[92], mil. 20e et cit. Nimier, 1950 ; TLF, cit. Simonin, 1957 ; GLLF, mil. 20e.
*1953 - «J'ai d'abord vu le poste, un combiné pick-up, impec [...]» Simonin, Touchez pas au grisbi, 25 (Livre de Poche) - K.G.
impec adj. abrév. de impeccablenon conv. VALEUR - GR[92], mil. 20e et cit. Nimier, 1950 ; TLF, cit. Simonin, 1957 ; GLLF, mil. 20e.
• impecc - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1966 - «Il est enthousiasmé. Je lui avais d'ailleurs dit : des modèles comme ça, on n'en fait plus. Il me regarde une fois encore, fait le tour, ouvre le coffre : impecc. aussi [...]» P. Daninos, in Elle, 3 mars, 176 - AFC
1977 - «Il est impecc de tenue [...]» Boudard, Les Combattants du petit bonheur, 129 (La Table Ronde) - K.G.
impec adv. abrév. de impeccablenon conv. VALEUR - absent TLF, GR[92].
Add.DDL :
*1970 - «[...] y a intérêt à ce que tu te sapes impec [...]» Boudard et Etienne, La Méthode à Mimile, 88 (Livre de Poche) - K.G.
1974 - «ça marchait impec !» Thérame, Hosto-blues, 38 (Ed. des Femmes) - K.G.
1978 - «Des beaux mollets soigneusement épilés. Bas tirés impec.» Hanska, La Mauvaise graine, 27 (O. Orban) - K.G.
impec adv. abrév. de impeccablenon conv. VALEUR - DDL 23, 1970, Boudard ; DHR, mil.20e ; absent TLF.
1953 - «En ce qui concernait Riton, il était tombé si souvent que je ne pouvais pas me faire une idée de l'époque ; mais pour moi, je cataloguais impec, même sans matricule. Ce portrait, on me l'avait tiré à Fontevrault, lors de mon dernier sapement [...]» A. Simonin, Touchez pas au Grisbi !, 133 (Gallimard) - P.E.
impec adj. abrév. de impeccablenon conv. VALEUR - DDL 23, 1953, Simonin ; TLF, 1957, Simonin ; DArg., 1957, Sandry-Carrère ; DHR, mil. 20e.
1952 - «C'est un pote qu'est revenu des États-Unis et qui m'a dit que là-bas les Amerloches [sic] possèdent une organisation médicale impec.» C. Canaille, Jean Rigaux, 202-3 (Éd. de Paris) - P.R.
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