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aristo-capucino-comique adj. plais.  WW- ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1791 - La Rocambole des journaux, ou Histoire aristo-capucino-comique de la Révolution, Journal, in Martin et Walter, Catalogue de l'hist. de la révolution fr., V, 557 (Paris) - LTP
comique n.m. LITT.  "auteur" - L, GLLF, TLF, Lex.[75], 1580, Mont. ; DG, PR[77], ø d.
1561 - «Seulement le Comique se propose de représenter la vérité et naïveté de sa langue, comme les moeurs, les conditions et les estats de ceux qu'il met en jeu [...]» J. Grévin, Théâtre complet et poésies choisies, 49 (Garnier) - P.E.
comique (second -) loc. nom. m. THÉÂTRE  "rôle de second ordre attribué à un comédien et auquel correspondaient des personnages de comédie déterminés" - TLF, ø d.
Add.DDL :
*1813 - «La dame, qui jouait les grandes princesses, avait abandonné le tyran à Châteaudun pour suivre la fortune d'un Colin qui l'avait cédée à un financier, qui se l'était laissé enlever par un second comique qui s'en était arrangé avec un La Ruette, qui l'avait remise aux mains d'un grime, que le mari voulait forcer à accepter les enfans et les dettes [...]» [Jouy], L'Hermite de la Chaussée-d'Antin, III, 198-9 (Pillet) - P.E.
comique (second -) loc. nom. m. THÉÂTRE "rôle de second ordre attribué à un comédien et auquel correspondaient des personnages de comédie déterminés" - DDL 30, 1813, Jouy ; TLF, ø d.
1803 - «Je m'adressai tout justement au directeur d'une troupe ambulante qui allait s'embarquer pour Auxerre. Nous liâmes conversation : il me dit qu'il lui manquait un second comique, et que si je voulais, je ferais son affaire.» A.A. Beaufort, L'Enfant du trou du souffleur, 151 (Lepetit) - P.E.
héroï-comique adj. LITT. - GLLF, 1641, Saint-Amant ; FEW (4, 416b), ND3, PR[73], 1660, Saint-Amant ; BW5, DG, 17e ; L, ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1640 - «Le Passage de Gibraltar, caprice heroïcomique.» Saint-Amant, Oeuvres, II, xvii (Didier) - P.E.
politi-comique adj. LITT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1828 - «Si ce poème que j'appelle politi-comique, ne réussit pas, je ne pourrai certes m'en prendre qu'à moi-même [...] Mais d'abord il falloit savoir de quelle manière devoit être traité un pareil sujet. Le genre dit héroï-comique ne me semble pas lui convenir, et voici pourquoi [...] les personnages allégoriques qu'on y mêle sont un trait de carricature [sic].» F. Bodin, La Bataille électorale, poème politi-comique, V-VI (Moutardier) - J.Hé.
scientifico-comique adj. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1904 - «Si Bourrit est coupable de quelques théories scientifico-comiques, sur la formation des glaciers notamment, il ne faut pas oublier qu'il fut un apôtre, un ardent pionnier, un de ces touristes 'inutiles' qu'ont si bien vengés Javelle et Mummery [...]» R. alpine, numéro 4, avr., 134 - C.T.
sério-comique adj. plais.  AFFECT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1791-98 - «Mais Tireta ne fit que rire lorsque je lui ai tout dit, lui reprochant d'un air sério-comique l'horrible action qu'il avait osé faire à une femme respectable par tous les côtés.» Casanova, Un Vénitien à Paris, part. 2, ch. 3, 156 (Coll. 10/18, 1960) - R.R.
tragi-comique adj. AFFECT.  ÉVÉN. "où le tragique et le comique se mêlent (d'un fait ou d'un événement)" - TLF, 1708, Regnard ; FEW (13/II, 160b), GLLF, DHR, 1718, Acad.
1674 - «La première chose, dis-je, que firent ces Archers des Muses, ce fut de sceller tous mes coffres, aprés s'estre saisi de mon argent. Ce premier acte tragicomique estant finy, il fallut sans interméde passer au second.» C. Dassoucy, Aventures burlesques, 388 (Garnier, 1876) - P.E.
ultra-comique adj. AFFECT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1883 - «Certes, nous avons eu là-bas un ambassadeur ultra-comique, M. Teisserenc de Bort, qui avait fait peindre en tricolore les panneaux de ses voitures de gala [...]» Le Triboulet, 12 août, 2b - G.S.
1885 - «[...] les ahurissements ultra-comiques de JOLLY-Duplantin [...]» Le Triboulet, 15 févr., 12b - G.S.