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huître (bâiller comme une -) loc. verb. non conv. SANTÉ - BEI, 19e ; DEL, TLF, ø d.
1831 - «Dimanche, après le dîner, je bâillais comme une huître dans la grande allée des Tuileries, quand j'ai aperçu les demoiselles -- -- -- assises au pied d'une caisse d'oranger.» MussetCorresp., I, 48 (P.U.F.) - P.E.
huître (gober / manger l'-) loc. verb. ÉROT. "pratiquer le cunnilingus" - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1748 - «Comme je m'étais renversée sur le lit, pâmée de rire et sans forces, il fourrageait mes appas et cherchait à manger l'huître [...] Son instrument, après des efforts redoublés, est réduit à l'humiliante ressource de cracher au nez de l'huître qu'il ne peut gober J.-B. de Boyer d'Argens (?)Thérèse philosophe, 642 (Laffont, Coll. Bouquins) - P.R.
huître marchande loc. nom. f. COMM.  OSTRÉIC. "qui a la taille requise pour être vendue" - GR[85], cit. L. Lambert, 1950 ; absent TLF.
1863 - «[...] mais en général les propriétaires ne réalisent de bénéfices qu'à la condition d'acheter chaque année du renouvelain, c'est-à-dire des huîtres du fonds commun, qu'ils sèment dans leurs parcs. La production n'est pas assez rapide pour que le naissain suffise à repeupler les crassats après l'enlèvement des huîtres marchandes, et le nombre des mollusques ne peut être maintenu que par de continuelles importations.» E. Reclus, in R. des deux mondes, t.48, 15 nov., 477 - M.C.
ouvre-huître, ouvre-huîtres n.m. ÉCON. DOM. - FEW (25, 4b), GLLF, GR[85], 1855, Audot ; Lex.[79], v.1950 ; TLF, cit. Les Lettres fr., 1967.
1852 - «L'ouvre-huître de M. Picault est en métal, et réussit très-bien à ouvrir l'huître à et [sic] couper le nerf.» L.-E. A[udot]La Cuisinière de la campagne et de la ville, 638 (32e éd.) - M.B.