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alpinisme classique de haute montagne loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1967 - «Heureusement, cette généralisation du développement technique a permis également l'épanouissement de l'alpinisme classique de haute montagne qui est pratiqué par la grande majorité des montagnards [...]» BessièreL'Alpinisme, 78 (P.U.F.) - C.T.
alpinisme de haute montagne loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1967 - «La plus belle entreprise de l'alpinisme de haute montagne demeure la course mixte [...]» BessièreL'Alpinisme, 91 (P.U.F.) - C.T.
alpiniste de haute montagne loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1931 - «Les alpinistes de haute montagne ne s'intéressent, en général, qu'à la nature inanimée [...]» La Montagne, numéro 235, nov.-déc., 359 - C.T.
chambre haute loc. nom. f. HIST. RÉVOL. - DG, GLLF, TLF, ø d.
1790 - Pièces intéressantes pour servir à l'histoire des aboyeurs ou des membres de la chambre haute, Cahiers, n° 1 (Paris, s.d.), in Martin et WalterCatalogue de l'hist. de la révolution fr., V, 506 (Paris) - LTP
course de haute montagne loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1967 - «[...] son emploi [du casque] est justement conseillé dans toute vraie course de haute montagne [...]» BessièreL'Alpinisme, 62 (P.U.F.) - C.T.
dragée (tenir la - haute) loc. verb. CARACT.  "fig." - DELF, 18e ; FEW (13/II, 159a), GLLF, Lex.[75], PR[77], 1835 ; L, DG, ø d ; TLF, 1826, Delécluze ; R, cit. Mauriac.
1773 - «Et vous voilà tout aussi féru qu'auparavant du chevalier et de votre belle ; votre belle vous tenant la dragée plus haute que jamais.» DiderotJacques le fataliste, t. 2, 219 (1796) - R.R.
fidélité (haute -) loc. adj. PROPRIÉTÉS ET ÉTATS "fig." - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1964 - «Quant aux soutiens-gorge, les plus jolis (en dentelle de Calais) et plus réussis sont ceux dont les bretelles entièrement élastiques sont 'haute fidélité' aux mouvements les plus dynamiques et s'élargissent à volonté selon vos décolletés. Et vive le 'rentré' de nos créateurs corsetiers !» Le Monde, 24 sept., 14 - TGLF
finance (la haute -) loc. nom. f. ÉCON.  POLIT. - GLLF, TLF, DHR, ø d finance : GLLF, 1770, Raynal
1777 - «Si les affaires étrangères nous embarrassent, celles de notre intérieur excitent encore plus de fermentation entre nos ministres et parmi ce qu'on appelle la haute finance. M. Necker est enfin accouché d'un plan [...]» Corresp. secrète inédite sur Louis XVI, Marie-Antoinette, la cour et la ville, I, 38-39 (Plon) - P.E.
fréquence (haute -) loc. nom. f. ÉLECTR. - FEW (24, 368b), 1901, Lar. ; DDL 12, 1934, Sarnette ; GR[85], cit. Devaux ; GLLF, TLF, ø d.
1895 - «Appareil [Gaiffe] pour la production des courants de haute fréquence L'Eclairage électrique, t.3, n° 20, 18 mai, 315, Légende - P.P.
haute banque loc. nom. f. FIN.  "l'ensemble des grandes banques" - TLF, ø d.
1838 - «Qui viendrait dire que la haute banque est parfois un coupe-gorge, commettrait la plus insigne calomnie. Si les effets haussent et baissent, si les valeurs augmentent et se détériorent, ce flux et reflux est produit par un mouvement naturel, atmosphérique, en rapport avec l'influence de la lune.» BalzacLa Maison Nucingen, 340 (Werdet) - M.C.E.
Compl.GLLF (cit. Zola)
1891 - «L'Universelle, en effet, ne marchait pas comme il l'avait espéré, car elle avait contre elle la sourde hostilité de la haute banque [...]» Zola, L'Argent, ch. V, in Gil Blas, 3 janv., 2, col. 3 - M.C.E.
Haute cour nationale loc. nom. f. HIST. RÉVOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1790 - «[...] elle /L'Ass. nat./ constituera la Haute-cour-nationale Danton, Discours à l'Assemblée nationale, 10 nov., in Frey, 222 - LTP
1791 - «Haute cour nationale : Tribunal établi pour juger les crimes de lèze-nation.» GautierDict. de la Constitution (Paris) - LTP
haute fidélité loc. nom. f. AUDIOV.  ÉLECTROACOUST. - ND3, 1955, Courbet ; TLF, cit. Lambertie, 1962 ; Rs, 1966 ; GLLF, PR[73], ø d.
1934 - «Le procedé R.C.A. a subi récemment des perfectionnements, et peut atteindre des fréquences de 10.000 vibrations à la seconde, c'est-à-dire qu'il peut enregistrer la quasi-totalité des harmoniques audibles et donne à la reproduction l'illusion du réel : on le nomme 'R.C.A. haute fidélité'. Il est en usage aux Studios Pathé Natan de Joinville.» A. Hoerée, in R. musicale, n° 151, déc., 66 - P.E.
haute fréquence loc. nom. f. RADIOÉLECTR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1934 - «C'est comme dans la course des cent dix mètres haies ; le vainqueur n'est pas celui qui a franchi avec succès la première haie (le micro), mais toutes les haies (prise de son, amplification, cellule ou graveur ou haute fréquence, tirage, dressage, etc., etc...). La photographie ne veut pas dire objectif tout seul. La musique mécanique ne veut pas dire micro tout seul.» E. Sarnette, in R. musicale, déc., 81 - P.E.
haute gomme (la très -) loc. nom. f. HIST. MOEURS - ø t. lex. réf. ; absent TLF.haute gomme : E, 1875 ; DDL 17, 1879 ; R, ø d
1893 - «Il avait donc transporté le superchic dans l'église de Sainte-Godeleine. Il avait le grand costume matrimonial de la très haute gomme ; l'habit couleur jaune de chrome, tournant à l'orange, de cette nuance qu'on nommait alors chaudron Ch. d'Héricault, La Comédie des Champs, in Petit écho de la mode, Suppl., 7, 12 févr., 29 - J.Hé.
haute vie loc. nom. f. HIST. MOEURS  "manière de vivre des classes supérieures" - Ls, 1876, J. Claretie ; absent TLF.
*1885 - «MARDISTES, à vos toilettes ! Samedistes, à vos robes ! Jeudistes, à vos pièces ! C'est le grand déballage des élégances, et si jamais saison de haute vie s'annonce bien, c'est celle-ci. Oui, en dépit de la crise, la fameuse crise, dont tout le monde souffre [...]» L'Illustration, 12 déc., 383a - G.S.
haute-contre n.m. MUS. - TLF, 1671, Pomey ; GLLF, GR[85], 1690, Fur. ; L, ø d 1553, dans FEW (2, 1116a), concerne le n.f. ; cf. TLF
1643 - «[...] un jour l'Archevesque d'Arles m'ayant repris de ce que je n'avois pas remis un Haute-Contre qui s'estoit manqué aussi promptement qu'il estoit necessaire, je luy respondis qu'il y avoit plus de peine à gouverner une compagnie de Musiciens, qu'un Regiment de Cavallerie [...]» A. GantezL'Entretien des musiciens, 181 (Claudin) - P.E.
haute-gomme n.f. HIST. MOEURS  "ensemble des gommeux, des jeunes élégants" - TLF, cit. Vassy, 1875 ; E, 1875 ; R, ø d gomme "ensemble des gommeux" : E, GLLF, TLF, 1875 ; FEW (4, 324b), 1879, Daudet
*1879 - «[...] une grande partie de la haute-gomme (ce terme est dès à présent consacré) était en train de perdre son argent à Fontainebleau [...]» L'Ecole des Femmes, 19 juin, 36a - G.S.
haute-écolier adj. ÉQUIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1892 - «Quant au Cirque d'été, son programme est attrayant. Kam-Hill, surtout, Kam-Hill à la fois chanteur et haute-écolier, va attirer les foules. Ses imitations équestres sont faites avec un goût parfait [...]» Le Journ. amusant, 14 mai, 3c-6a - G.S.
montagne (haute -) loc. nom. f. GÉOGR. - GLLF, GR[85], 1936, Aragon ; [RSp. : s.v. cramponnage, in cit., 1970, La Montagne] ; Lex.[79], TLF, ø d.
1883 - «On se figure difficilement ce qu'est un voyage à pied dans la haute montagne ; qui ne l'a parcourue ne connaît rien des joies intimes du touriste. Il va droit devant lui, remontant les vallées, franchissant les cols, escaladant les cimes les plus fières.» Annuaire du Club alpin fr. Année 1882, 68 (Paris) - C.T.
1894 - «Nous devons faciliter l'approche des grands sommets au moyen des refuges de haute montagne [...]» Bull. mens. du Club alpin, déc., 259, in R. alpine, numéro 2, févr., 64 - C.T.
1895 - «L'heure des ascensions d'hiver est passée et la haute montagne devient dangereuse.» R. alpine, numéro 5, avr., 154 - C.T.
montagne (haute -) loc. adj. GÉOGR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1949 - «Terrain très haute montagne, facile, mais encombré d'énormes quantités de neige molle [...]» La Montagne, numéro 344, avr.-juin, 28 - C.T.
1959 - «Bien plus proche des parois, la cabane Tschierva réserve une vue plus haute montagne et plus sauvage.» La Montagne et alpinisme, numéro 23, juin, 80 - C.T.
1960 - «D'une façon générale il s'agit d'un terrain très haute montagne pour alpinistes 'grandes classiques'.» La Montagne et alpinisme, numéro 26, févr., 181 - C.T.
montagne (très haute -) loc. nom. f. GÉOGR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1924 - «Mais s'ensuit-il que la haute montagne doive être bannie de notre revue mensuelle, sous prétexte qu'elle n'intéresse qu'une minorité, et faut-il par exemple que la primeur des 'premières', de plus en plus rares, accomplies en terre française, soit réservée à des publications étrangères ? Parcourez celles-ci et vous verrez que la haute, la très haute montagne même, jusqu'au Ruvenzori ou à l'Everest, y tient une place prépondérante et leur donne, avec l'aide de superbes reproductions, autant d'attrait que de valeur.» La Montagne, numéro 175, oct., 274 - C.T.
police (haute--) loc. nom. f. ADMIN. - FEW (9, 130a), v.1835, Acad. ; L, ø d ; absent TLF.
1828 - «Un ancien capitaine de navire, âgé de soixante-seize ans, était détenu à Bicêtre par mesure de haute-police S.E.Description hist. des prisons de Paris, Notice sur Bicêtre, 10 juin, 43 - R.R.
pratiquer la haute montagne loc. verb. ALP. - absent TLF.'aller régulièrement en montagne' : GR[85], cit. Bosco [1937].
1897 - «[Henri Noë] Sans être un alpiniste, dans le sens sportif du mot, il avait beaucoup connu et pratiqué la haute montagne [...]» R. alpine, numéro 1, janv., 28 - C.T.
refuge de haute montagne loc. nom. m. ALP.  HÔTELL. - GLLF, GR[85], ø d ; absent TLF.
1894 - «Nous devons faciliter l'approche des grands sommets au moyen des refuges de haute montagne [...]» Bull. mens. du Club alpin, déc., 259, in R. alpine, numéro 2, févr., 64 - C.T.
route (haute -) loc. nom. f. ALP.  SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1895 - «De Bessans à Bonneval, par une haute route R. alpine, numéro 5, avr., 129 - C.T.
1897 - «[...] je partis donc pour Genève et Sixt avec l'intention de rallier ensuite Zermatt par la haute route R. alpine, numéro 2, févr., 33 - C.T.
1908 - «F. Armanet. - Les Pentes S.E. de Chamrousse, la Petite Vaudaine, les Escombailles [...] [Paraphrase et précise sur certains points l'article de M. Chabert [...] notamment le projet de haute route] [...]» La Montagne, numéro 6, juin, 136 - C.T.
ski de haute montagne loc. nom. m. SKI "sport" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1910 - «Point de départ pour excursions de ski de haute montagne et notamment pour l'ascension d'une montagne de vue, d'accès facile en ski, sans danger sérieux d'avalanche [...]» La Montagne, n° 6, juin, 366 - C.T.
1930 - «Quand le ski pénétra en Allemagne, deux théories prirent naissance ; elles se combattirent pendant longtemps. L'une se nommait 'Technique Norvégienne' ; cette technique visait principalement la course de fond et les sauts de tremplin, aujourd'hui très développés. Mais dès le début, ses partisans apprécièrent les parcours touristiques en moyenne montagne et furent les pionniers du ski de haute montagne (Paulcke et autres).» J. Selz, trad. : M. WinklerLa Nouv. technique du ski, 9 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
ski à haute neige loc. nom. m. SKI "patin" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1908 - «Ce modèle est le ski de Télémark (ski à haute neige) légèrement modifié : il se prête également à tous les usages et évince peu à peu dans les pays scandinaves tous les autres types.» L. Arnaud, trad. : Hoek et RichardsonLe Ski, 4 (Grenoble) - C.T.
skieur de haute montagne loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1925 - «La phalange des skieurs de haute montagne se développe en France d'une façon satisfaisante depuis quelques années, mais combien de temps ne faudra-t-il pas pour faire pénétrer dans la masse la doctrine du ski de montagne telle que nous l'apportent Arnold LUNN et Marcel KURZ, résultat d'un quart de siècle d'observations.» La Montagne, n° 186, nov., 290 - C.T.
1938 - «Si vous êtes [...] SKIEUR DE HAUTE MONTAGNE 53 cols et sommets différents, avec départ et retour possible à VAL D'ISERE dans la même journée.» La Montagne, n° 301, oct.-nov., Publ., II - C.T.
société (la haute -) loc. nom. f. SOCIOL. - TLF, 1832, Raymond ; GLLF, GR[85], 1835, Raymond ; FEW (12, 20b), 1845, Besch.
1821 - «Il est généralement convenu que dans la haute société, les bals seront de vrais bals de nuit [...]» Journ. des dames et des modes, n° 71, 25 déc., 560 - P.E.
station de haute altitude loc. nom. f. TOURISME - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Les premiers centres qui s'organisèrent [...] ne dépassent pas 1200 mètres d'altitude [...] La tendance nouvelle est de doubler les installations peu élevées par des stations de haute altitude La Montagne, n° 11, sept.-oct., 317 - C.T.
tension (haute -) loc. nom. f. ÉLECTR. - TLF (électricité à -), 1868, Verne ; GLLF, 1907, Lar. ; R, Lex.[75], PR[77], ø d.
Add.DDL :
*1903 - «L'emploi des dynamos à courants alternatifs (ou alternateurs) à haute tension [...] L'emploi des hautes tensions est bien plutôt limité par des considérations d'ordre économique [...]» L. Saint-Martin, in Bull. technologique , numéro 3, mars, 236 et 240 - P.E.
tension (haute -) loc. nom. f. ÉLECTR. - TLF (électricité à -), 1868, Verne ; DDL 21, 1903 [repris in GR] ; GLLF, 1907, Lar.
1897 - «Nouveau transformateur à haute tension ; Par Wydts et de Rochefort.» L'Eclairage électrique, t.13, n° 47, 20 nov., 362, titre - P.P.
voix (à haute et intelligible -) loc. adv. EXPRESS. - TLF, cit. Colette, 1900 ; DG, GLLF, Lex.[79], GR[85], ø d.
1789 - «Avec quel plaisir j'y dirai à haute et intelligible voix, f... faites payer les plus riches sans miséricordes [...]» [Lemaire]Les Vitres cassées par le véritable père Duchêne, 17 (s.l.) - P.E.