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gâteau n.m. CIN.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1952 - «Dépôt de poussière dans le couloir de la caméra qui provoque des rayures.»O. Uren, Le Vocabulaire du cinéma fr., in Fr. mod., 20, 210.
gâteau n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Le fart de montée est toujours aussi en même temps un fart de descente. Il doit être appliqué de façon à retenir à la montée, sans former de gâteau, et à glisser sans faire frein en palier ou à la descente.» J. Selz, trad. : M. Winkler, La Nouv. technique du ski, 21 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
gâteau de glace loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Peaux de phoque. - Pendant longtemps on a surtout utilisé les peaux à agrafes. Ces peaux cousues sur des sangles qui sont attachées sur le ski présentent les désavantages suivants : volume et poids encombrants, surtout lorsqu'elles sont mouillées ou gelées ; formation d'un gâteau de neige ou de glace gênant, souvent dangereux, entre le ski et la peau [...]» J. Selz, trad. : M. Winkler, La Nouv. technique du ski, 20 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
gâteau de lune loc. nom. m. PÂTISS. "pâtisserie chinoise" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1952 - «J'étais si émue que les larmes me piquaient les yeux et, tandis que le véhicule faisait une embardée, j'ouvris le carton sur mes genoux et puérilement, en aveugle, je mangeai un 'gâteau de lune' pour arrêter mes larmes.» D. Olivier, trad. : Han Suyin, Multiple splendeur, 199 (Stock, Livre de poche) - J.C.
gâteau de neige loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Peaux de phoque. - Pendant longtemps on a surtout utilisé les peaux à agrafes. Ces peaux cousues sur des sangles qui sont attachées sur le ski présentent les désavantages suivants : volume et poids encombrants, surtout lorsqu'elles sont mouillées ou gelées ; formation d'un gâteau de neige ou de glace gênant, souvent dangereux, entre le ski et la peau [...]» J. Selz, trad. : M. Winkler, La Nouv. technique du ski, 20 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
gâteau feuilleté loc. nom. m. CONCHYLIOL. - absent TLF.
1742 - «On appelle l'Huître marquée F, le gâteau feuilleté [...]» A. Dezallier d'Argenville, L'Hist. nat. éclaircie, 318 (Paris) - R. L. rom., 37, 498.
Corr.FEW (17, 547b) (1780, Valmont de Bomare)
1775 - «Coquille bivalve de la famille des huîtres. [...] Les deux valves sont couvertes de feuilles circulaires profondément découpées.» Valmont de Bomare, Dict. raisonné univ.d'hist. nat.
gâteau feuilleté loc. nom. m. PÂTISS. - FEW (3, 683b), 16e ; DG, PR[77], ø d.
1566 - «[...] telles manieres de gasteau fueilletés, ou non fueillettés, ne sont poinct receuables au regime de santé [...]» S. Colin, Traicté de la peste et de sa guerison, 65 (Poitiers) - Fr. mod., 42, 279.
gâteau sec loc. nom. m. PÂTISS. - TLF, cit. Zola, 1873 ; R, GLLF, 1964 ; Lex.[75], PR[77], ø d.
*1902 - «Les petits gâteaux secs, le vin de Château-Yquem, l'arak et le ginger-brandy dans la même armoire.» Willy, Claudine en ménage, 233 (Mercure de France) - M.C.E.
*1910 - «[...] ses dents, un peu jaunies par l'âge, effritent un gâteau sec.» Colette Willy, La Vagabonde, 48 (Ollendorff) - M.C.E.
gâteau zébré loc. nom. m. PÂTISS.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1807 - «Gâteaux zébrés. On mange à Langres, au Fay-Billot, et dans plusieurs petites villes de la Bourgogne, d'excellens gâteaux ou biscuits qui, lorsqu'on les coupe dans leur épaisseur, présentent des zônes ou couches rubanées fort agréables à l'oeil et au goût [...]»Journ. des gourmands et des Belles, ou L'Epicurien fr., 2e année, 3e trimestre, 245 (Paris) - Z. rom. P., 84, 93.
Madeleine (gâteau à la -) loc. nom. m. PÂTISS.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1769 - «Gâteaux à la Madeleine. Common small Cakes.» Menon, The Professed cook (Trad. : Les Soupers de la Cour) , t. 2, ch. 8, 410 (2e éd.) - R.R.
*1808 - «Des gâteaux, à la Madeline.» Grimaud de la Reynière, Man. des amphitryons, part. 2, ch. 4, 164 - R.R.
*1814 - «Gâteau à la Madeleine.» A. Beauvilliers, L'Art du cuisinier, t. 2, 134 - R.R.
*1818 - «Gâteau à la Madeleine. Prenez dix oeufs [...] Votre mélange étant bien fait, remplissez-en de petits moules à la Madeleine, que vous graissez de beurre auparavant [...]» La Pâtissière de la campagne et de la ville, 64-65 (Audot) - M.H.
*1839 - «Gâteaux à la Madeleine (suivant la recette de Madeleine Paumier, pensionnaire et ancienne cuisinière de madame Perrotin de Barmond).» Néo-physiologie du goût [...] enrichi de plusieurs menus, prescriptions culinaires, et autres opuscules inédits de M. de la Reynière, 311 - R.R.
plomb (gâteau de -) loc. nom. m. PÂTISS. - FEW (galette de -), 1855 ; absent TLF.
1827 - «Le soir, après le thé, on fait servir, entre les meringues, et autres petits fours, un grand gâteau de plomb que l'on coupe en mouillettes.» Journ. des Dames et des Modes, 10 mai, 203 - Fr. mod., 15, 138.
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