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gourer (se -), gourrer (se -) v.pron. non conv. INTELL. - E, GLLF, TLF, 1807 ; FEW (4, 197a), 1829, Boiste ; DFNC, déb. 19e ; R, cit. Carco ; Lex.[75], cit. Aragon ; PR[77], cit. Queneau.
1790 - «On prononça un jugement en l'air, les uns prétendirent que le cardinal de Rohan était amoureux de la reine, d'autres que c'était une piau ; ceux-ci disaient que y avait de quoi s'y gourrer dans les approfondissements ; ceux-là que tout irait en broucé d'andouilles...» Jean Bart, numéro 93, 3 - P.E.
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