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cage à mouches loc. nom. f. péjor. HABITAT "petite chambre" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1902 - «Ah ! en voilà une cage à mouches ! Si c'est comme ça, je me fais la paire demain matin. Vous préparerez ma note.» P. Veber, Loute, IV, v - E.S.
gobe étrons, gobe-étrons n. non conv. INJURE - FEW (4, 178b), ø d ; absent TLF.
1803 - «[...] les chiens pouris, les gobe étrons, les branleuse [sic] de saucisses, les magneuse [sic] de saucisses plates, les mâtins, les bougres, enfin tout étoit en usage pour se faire des complimens à la mardi gras [...]» La Mascarade paris., 64-65 (Marchands de nouveautés) - P.E.
gobe-choux n.m. arg. ARG. MILIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1841 - «[...] notre armée se compose de 300,000 gobe-choux, - chiffre moyen [...]» E. Marco de Saint-Hilaire, Physiologie du troupier, 121-2 (Aubert) - P.E.
gobe-légumes n.m. arg. ARG. MILIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1797 - «Un commissaire des guerres charge un préposé des vivres et viandes (ou GOBE LEGUMES, comme nous [des grenadiers] les appelons) d'aller faire simplement une requisition de vingt-cinq bêtes à cornes dans un village sur les bords du Rhin [...]» Le Père Duchêne ou le défenseur de la Constitution, n° 2, 6 - P.E.
gobe-mouton n.m. MÉD. VÉTÉR. - FEW (4, 179a), 1845, Besch. ; L, ø d ; absent TLF.
1822 - «On appelle gobe-moutons des petites pelotes, boulettes ou pilules, composées de bourre, de filasse, de miel, de beurre ou de poix.» M. Fournel, Les Lois rurales en France, t.1, 494 (3e éd., Paris) - A.Ré.
1842 - «GOBE-MOUTON. s.m. Nom de certaines pilules qui font mourir les bestiaux.» Complément Acad. - TGLF
plumeau-chasse-mouches n.m. ÉCON. DOM. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1910 - «[...] mais, tout le long du repas, l'aubergiste prend soin d'éventer ses hôtes avec un énorme plumeau-chasse-mouches en banderoles multicolores.» Gide, Journ. 1889-1939, 315 (Pléiade, 1948) - A.Ré.
tape-mouches n.m. ÉCON. DOM. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1941 - «[...] en deux minutes elle a agencé un 'fly-killer' efficace, inspiré des tape-mouches américains.» Colette, Journ. à rebours, 60 (Fayard, 1960) - A.Ré.
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