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back-court n.m. d'apr. angl. TENNIS - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1937 - «Vers la fin de sa carrière d'amateur atteint par l'âge [...] il recula de nouveau vers le back-court.»Cochet, Le Tennis, 15 - IGLF
blue-back n.m. d'apr. angl. FOURRURE - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1964 - «Le plus cher des phoques, le blue-back.» Elle, 12 nov., 148 - M.Sc.
flash-back n.m. d'apr. angl. LITT. - Rs, ø d ; absent TLF.
1955 - «[...] le romancier de 1640 veut, dès la première ligne, plonger son lecteur in medias res, quitte à recourir à d'interminables flashbacks explicatifs, inspirés et justifiés par le récit d'Ulysse au roi des Phéaciens ou par celui d'Enée à Didon.» G. May, in RHL, n° 2, 175 - P.E.
flash-back n.m. d'apr. angl. LITT. - Rs, ø d ; absent TLF.
• flache-baque - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1963 - «Je vous ferme encore la parenthèse ou j'en ouvre une autre, je sais plus... Avec ces flaches-baques, à ne plus s'y reconnaître, y trouver ses petits !» A. Boudard, La Cerise, 264 (La Table Ronde) - K.G.
flash-back n.m. d'apr. angl. CIN. - GLLF, Lex.[75], v. 1950 ; DA[80], 1951 ; TLF, cit. Giraud, 1956 [flashback] ; Rs (néol.), 1958 ; PR[77], 1966.
1923 - Cinémagazine, 7 déc. - Giraud
*1953 - «Procédé de style, appelé plus simplement 'retour en arrière', qui permet d'indiquer que certaines images traduisent une action passée ou antérieure à l'action en cours.» G. Bounoure, Regards neufs sur le cinéma, 485 - IGLF
piggy-back n.m. d'apr. angl.-amér. CH. DE FER - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1964 - «Les wagons 'porte-remorques' dits 'Kangouroo' devraient normalement permettre au chemin de fer français de rejoindre le rail américain dans le domaine du 'piggy-back', qui représente maintenant 16 % du trafic de ce dernier.» La Vie du rail, 24 mai, 41 - R.H.
1969 - «PIGGY-BACK [...] n.m. (mot améric.). Technol. Système de transport mixte rail-route, dans lequel des remorques routières peuvent être chargées sur des wagons plates-formes aménagées pour permettre un chargement et un amarrage rapide.» Grand Lar. encycl., Suppl. 1 - TGLF
play-back n.m. d'apr. angl. RADIOTÉLÉV. - TLF, 1930, Ciné-magazine ; Rs, mil. 20e.
*1944 - «A côté de cette méthode, qui consiste à prendre les images d'abord et à enregistrer le son ensuite, il existe une méthode inverse : Celle-ci, utilisée surtout pour l'inscription sonore des chansons, consiste à faire enregistrer par le chanteur, dans un auditorium, les couplets qu'on doit lui voir chanter à l'écran. Ce son est ensuite émis par un haut-parleur, dans le décor de la chanson même. Le chanteur cherchera alors, en entendant sa propre voix, à reproduire, en jouant, le mouvement exact de ses lèvres. Cette méthode s'appelle le PLAY-BACK (de l'anglais : jouer en retour).» Ecole technique du cinéma par correspondance, Cours n° 5, in Le son et sa reproduction, 22 - IGLF
*1965 - «Le playback, pour les chanteurs, consiste à faire semblant de chanter devant les caméras, alors qu'en réalité c'est un de leurs disques qui passe.» L'Aurore, 20 févr., 10 - D.J.
play-back n.m. d'apr. angl. RADIOTÉLÉV. - TLF, 1930, Ciné-Magazine ; GLLF, DDL 3, 1944 ; Rs, mil. 20e.
*1934 - «Certaines scènes d'atmosphère devraient être composées et enregistrées à l'avance, et tournées ensuite sur la musique, renvoyée par le procédé du 'play-back'.» J. Ibert, in R. musicale, déc., 33 - P.E.
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