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encorder v.tr. ALP. "équiper une paroi" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1967 - «La première voie directe des Américains Hemming et Robbins, rejoignant le bloc coincé, continuait la tradition alpine du Petit Dru. Quant à la face ouest directe, voie Harlin-Robbins, vaincue en plusieurs assauts, elle marquait une évolution dans la technique d'escalade appliquée à cette montagne. Le Dru méritait-il qu'on l'encorde sur des centaines de mètres ?» La Montagne et alpinisme, numéro 63, juin, 81 - C.T.
encorder (s'- plus long) loc. verb. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1965 - «Comme ils s'étonnent de voir nos préparatifs, nous nous encordons 'plus long' [...]» La Montagne et alpinisme, numéro 53, juin, 87 - C.T.
encorder (s'- à/en double) loc. verb. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1946 - «A cinq heures nous démarrons, pleins de confiance et d'entrain, encordés en double avec une mince corde de 50 mètres.» Alpinisme, sept., 56 - C.T.
1946 - «Je m'encorde à double et remonte à nouveau notre fissure.» La Montagne, numéro 334, oct.-déc., 76 - C.T.
encorder (s'-) v.pron. ALP. - Lex.[79], v.1900 (?) ; RSp., 1904, Man. du CAF ; TLF, Lar. 20e ; GLLF, déb. 20e 1889, dans GR[85], correspond au v.tr.
1895 - «L'ascension avait été jugée tellement facile que M. Paillon et Emile Pic ne se sont même pas encordés.» R. alpine, numéro 5, avr., 150 - C.T.
1897 - «On évite ainsi des crevasses assez nombreuses [...] et l'on arrive sur un replat du glacier où nous nous sommes encordés.» R. alpine, numéro 10, oct., 303 - C.T.
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