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enclise n.f. LING. "phénomène de l'existence ou de la genèse d'un enclitique" - TLF, 1904, Vendryès ; GLLF, 20e.
*1908 - «Phénomène grammatical qui consiste dans la fusion plus ou moins complète d'une particule (enclitique) avec le mot qui la précède, contre lequel elle semble s'appuyer [...]»Lar. mensuel, août, 295 - Rom. Jahrb., 21, 215.
enclise n.f. LING. "phénomène de l'existence ou de la genèse d'un enclitique" - TLF, GR[85], 1904, Vendryes ; DDL 6, 1908, Lar. mens. ; GLLF, 20e.
• enclisis - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1878 - «La contradiction où était l'accent verbal grec avec celui du sanskrit et du germanique se résout par la théorie de M. Wackernagel qui en fait, comme on sait, un cas particulier de l'enclisis.» Saussure, Mém. sur le système primitif des voyelles dans les langues indo-européennes, in Saussure, Recueil, 175 (Genève, Conor, 1922) - J.S.
enclise n.f. LING. "phénomène de l'existence ou de la genèse d'un enclitique" - TLF, GR[85], 1904, Vendryes ; DDL 6, 1908, Lar. mens. ; GLLF, 20e enclisis : DDL 39, 1878, Saussure
1847 - «Il n'y a pas jusqu'à l'enclise dont la langue française n'ait gardé certaines traces ; le pronom de la première personne je placé dans l'interrogation après son verbe, relève par l'accent sa dernière syllabe, lorsqu'elle se termine par un e muet : aimé-je, dussé-je. N'est-ce pas là une véritable enclitique ?» L. Benloew, De l'Accentuation dans les langues indo-européennes tant anc. que mod., 211 (Hachette) - J.C.
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