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bande-effets n.f. CIN. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1945 - «[...] en plus de la bande-musique et de la bande-paroles, il est souvent nécessaire d'adjoindre au mélange une troisième bande, comprenant les bruits et effets qui n'ont pu être enregistrés sur la bande-paroles lors des prises de son, comme, par exemple, les bruits d'une voiture en marche, d'un train, l'ambiance d'une salle d'attente, d'une gare ou d'un restaurant etc. Parfois, on est même obligé de constituer une deuxième bande-effets.»Ecole technique du cinéma par corresp., Le montage du film, 38-39 - IGLF
effets n.m. pl. THÉÂTRE - GR[85], cit. Gautier, 1863 ; TLF, cit. Renard, 1902 ; GLLF, ø d.
1842 - «Aujourd'hui, vous le savez, chacun a ses pièces, faites selon sa taille et ses moyens, et où les autres acteurs ne font que donner la réplique, car un acteur en vogue ne veut pas seulement avoir des effets dans son rôle, il tient encore à ce que les autres n'en aient pas.» Th. Gautier, Hist. de l'art dramatique en France, II, 300 - P.W.
effets spéciaux loc. nom. m. CIN. - TLF, cit. Phot., 1973.
1912 - «Pour obtenir certains effets spéciaux, on fait varier intentionnellement la vitesse de prise tout en conservant la vitesse normale de projection.» Löbel, La Technique cinématographique. Projection. Fabrication des films, 149 (Dunod et Pinat) - Giraud
1950 - «Ils [les spectateurs] désignent par le mot 'truquage' ce que les techniciens appellent 'effets spéciaux', c'est-à-dire tous les moyens par lesquels on parvient au cinéma à modifier et à transformer la reproduction de la réalité.» J.P. Chartier et F. Desplanques, Derrière l'écran, 98 - IGLF