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débâcle n.f. ÉVÉN. "déferlement (avec complément non animé)" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1836 - «La fête était une débâcle d'enthousiasme où chacun s'efforçait de se surpasser dans le féroce.» Balzac, Le Lys dans la vallée, 23 (Garnier, 1966) - G.M.-D.
1866 - «La digestion doit finir par en pâtir, et alors c'est la débâcle des ennuis qui commence.» Amiel, Journ. de l'année 1866, 305 (Gallimard, 1959) - G.M.-D.
1878 - «Une expansion vivace de récits, de souvenirs [...] Des débâcles de phrases à la Saint-Simon.» E. et J. de Goncourt, Journ., t.2, 452 (Flammarion, 1959) - G.M.-D.
débâcle n.f. non conv. ÉVÉN. "fig. : situation confuse, embrouillée" - GLLF, av.1850, Balzac ; TLF, cit. Zola, 1885 ; GR[85], ø d.
1847 - «Cette affaire me regarde. Toute cette débâcle, c'est l'affaire de dix minutes.» Balzac, La Cousine Bette, 380 (Garnier, 1962) - G.M.-D.
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