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drug n.m. abrév. de drugstorenon conv. COMM. - DA[82], cit. L'Express, 1972 ; absent TLF.
Compl.GR[92]
1966 - «Enfin, puisque la maison est ouverte jusqu'à deux heures du matin, en sortant du cinéma, préférez-la aux snacks, drugs et autres lieux bien parisiens : ici, au moins, l'originalité n'exclut pas le bon accueil.» Minuit, 24 mars, 26 - AFC
*1976 - «J'invente un rendez-vous avec ma copine au Drug Saint-Germain.» Hanska, Les Raouls ou la vie comme au ciné, 59 (O. Orban) - K.G.
*1980 - «[...] les bougnats du coin, on va les rénover pub et drug [...]» Boudard, Le Banquet des léopards, 220 (La Table Ronde) - K.G.
store n.m. AMEUBL. MOBIL. - BW5, TLF, 1664, J. de Thévenot ; FEW (12, 283b ; n.f.), NDl (n.f.), 1665 ; PR[67], 1666 ; DG, 1676, Félibien ; L, ø d.
1544 - «[...] touttesfois l'on pourra bien asseoir clous par dehors les stores et jointures des gouttières que l'on ne vouldrait pas plomber tout du long [...]»In Ch. Ouin-Lacroix, Hist. des anciennes corporations d'arts et métiers et des confréries religieuses de la capitale de la Normandie, 644 (Rouen, 1850) - B.G.
store n.m. ÉCON. DOM. SERRUR. - TLF, 1740, Acad. ; L, FEW (12, 283b), 1872.
*1762 - «Store : Tuyau de fer-blanc dans lequel il y a un ressort à boudin sur lequel on roule un morceau d'étoffe qu'on peut dérouler de dessus le tuyau pour se garantir du soleil.» Duhamel de Monceau, Art du serrurier, in R. d'hist. des mines et de la métallurgie, IV, 1/2, (Genève, Droz, 1972) - TGLF
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