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coprolagnie n.f. PSYCHOPATHOL. - GR[85], 20e ; absent TLF.
1962 - «[coprophilie] perversion qui porte certains névrosés à s'intéresser, à 'aimer', ou même à manger (coprophage, coprolagnie) les matières fécales ou à boire l'urine.» G. Lo Duca, Dict. de sexologie (Pauvert) - R.R.
1975 - «En effet, sur les six cents cas anormaux narrés par les historiennes [...] plus de la moitié offre l'image d'une ingestion d'excréments, autonome ou associé à une autre passion. Or, si la coprolagnie visuelle, olfactive [...] ou tactile (qui paraît relever à la fois du fétichisme et du sado-masochisme) est une anomalie relativement fréquente, sa soeur fanatique, la coprophagie, ne peut être rangée qu'au nombre des perversions sexuelles les moins répandues.» G. Lely, in Sade, Les 120 journées de Sodome, préf., t.1, 13 (Coll. 10/18) - R.R.
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