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arête de poisson (en -) loc. adj. SKI - RSp., 1924, Encycl. sports ; absent TLF.
Formule d'approche :
1903 - «On peut aborder les pentes faibles en jetant les skis, la pointe en dehors, à droite et à gauche, de façon à laisser sur la neige des traces disposées comme des arêtes de poisson R. alpine, 75 - M.J.
arête de poisson (en -) loc. adj. SKI - RSp., 1924, Encycl. sports ; absent TLF.
1906 - «Marche ... [...] : Ouvrir le ski droit plus ou moins, suivant la raideur de la pente, le poser sur la neige en le faisant passer par-dessus le ski gauche ; exécuter avec le ski gauche ce qui vient d'être prescrit pour le ski droit. La marche en arête de poisson est employée pour gravir, sur un faible parcours, un thalweg étroit ou un chemin encaissé qu'on ne peut franchir par une marche en gradins ou en lacets.» RivasPetit man. du skieur, 21 (Briançon) - C.T.
1912 - «On s'épuise vite à gravir une longue pente en procédant en arête de poisson, c'est-à-dire en écartant fortement les jambes et en frappant les skis sur la neige.» R. Auscher, trad. : FendrichLes Sports de la neige, 84 (Hachette) - M.J.
chair (ne pas savoir si c'est - ou poisson) loc. verb. non conv. AFFECT. - FEW (8, 584b), BEI (- qqn -), 1690, Fur. ; L, ø d ; absent TLF.
1612 - «[...] ie voulu scauoir la verité de la verité, ne scachant si elle estoit chair où poisson, l'enuie m'en print comme de pisser, i'enrageois que ie ne la scauois.» La Responce de Guérin à Me Guillaume, 6 (Milot) - P.E.
coefficient n.m. PSYCHOL. - TLF (- moral), cit. Mounier, 1946.
1893 - «Ce coefficient sensationnel, esthétique, subjectif, qu'aucun tracé géométrique ne saurait entièrement dépouiller, constitue le point d'attache des schèmes à leur inducteur et permet de faire rentrer ce genre de synopsie sous le principe général de l'association affective.» Th. FlournoyDes Phénomènes de synopsie, 34 (Alcan-Eggiman) - P.E.
1902 - «[...] ce réflexe rougeur a persisté et a pu être déclenché par toute idée impliquant un sentiment de honte, même lorsque ce coefficient de honte n'était pas lui-même présent à l'esprit.» E. Claparède, in Arch. de psychol., t.1, 331 - M.C.
1909 - «Chaque émotion produit un complexus d'associations plus ou moins étendu, que j'ai appelé un 'complexus d'associations à coefficient émotionnel'.» C.J. Jung, in L'Année psychol., t.15, 161 - M.C.
coefficient d'induction loc. nom. m. ÉLECTR. - TLF, ø d.
1882 - «Ce coefficient L porte le nom de coefficient d'induction propre ou coefficient de self-induction M. BrillouinComparaison des coefficients d'induction, 13 (Thèse, Gauthier-Villars) - P.P.
coefficient d'induction mutuelle loc. nom. m. ÉLECTR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF. induction mutuelle : TLF, cit. Poincaré, 1899
1882 - «M est une constante qui ne dépend que de la forme et de la position relative des deux circuits : on l'appelle coefficient d'induction mutuelle des deux circuits.» M. BrillouinComparaison des coefficients d'induction, 11-12 (Thèse, Gauthier-Villars) - P.P.
coefficient de dilatation loc. nom. m. PHYS. - TLF, cit. Nouv. encycl., 1927 ; GLLF, GR[85], ø d.
1842 - «Le coefficient de dilatation du verre du ballon a été conclu d'expériences faites sur d'autres ballons de même verre, mais plus petits [...]» Regnault, in Annales de phys. et de chim., t.4, cité in M. PouilletElémens de phys. expér. et de météorol., t.1, 264 (Béchet, 1844) - P.P.
1869 - «COEFFICIENT s.m. [...] Coefficient de dilatation Lar. GDUaussi dans Nouv. Lar. illustré, 1900 - TGLPF
coefficient de la réfraction loc. nom. m. OPT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1819 - «[...] en sorte que dans tous les phénomènes d'interférence (1), deux milieux différens produiront des effets pareils, lorsque leurs épaisseurs seront en raison inverse des coefficiens (2) de la réfraction [...] (1) M. Young appelle ainsi tous les phénomènes produits par la rencontre de deux ou plusieurs rayons lumineux. (2) Pour abréger, nous désignons par coefficient de la réfraction le rapport du sinus d'incidence à celui de réfraction. Les Anglais appellent ce même rapport index of refraction. Ces dénominations ne doivent pas être confondues avec celle de pouvoir réfringent, qui n'a un sens précis que dans le système de l'émission.» F. Arago et A. Fresnel, in Annales de chim. et de phys., t.10, 289-90 - P.P.
coefficient de self-induction loc. nom. m. ÉLECTR. - TLF, cit. Hist. gén. sc., 1961 ; DA[82], GR[85], ø d.
1882 - «Ce coefficient L porte le nom de coefficient d'induction propre ou coefficient de self-induction M. BrillouinComparaison des coefficients d'induction, 13 (Thèse, Gauthier-Villars) - P.P.
coefficient rotationnel loc. nom. m. PHYS. - TLF, 1894, P. Curie.
1894 - «La théorie de la propagation de la chaleur et de l'électricité dans les corps cristallisés (Stokes, Thomson, Minnigerode, Boussinesq) montre que, pour certains cristaux, il y a lieu de tenir compte de certains coefficients dits rotationnels P. Curie, in Journ. de physique théorique et appliquée, 3e série, t.3, 411 - P.P.
coefficient thermique loc. nom. m. PHYS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1873 - «En résumé, si l'on veut utiliser toutes les relations démontrées ci-dessus, on peut exprimer tous les coefficients thermiques ou thermo-élastiques en fonction de trois d'entre eux [...]» A. Cornu, in Journ. de physique théorique et appliquée, t.2, 50 - P.P.
coefficient thermoélastique, coefficient thermo-élastique loc. nom. m. PHYS. - TLF, cit. Sarm., 1981 ; GR[85], ø d.
1873 - «En résumé, si l'on veut utiliser toutes les relations démontrées ci-dessus, on peut exprimer tous les coefficients thermiques ou thermo-élastiques en fonction de trois d'entre eux [...]» A. Cornu, in Journ. de physique théorique et appliquée, t.2, 50 - P.P.
doré (poisson -) loc. nom. m. rég.  Canada ICHTYOL. "poisson d'eau douce de la famille des percidés" - GR[85], 1634 ; absent TLF.doré, n.m. : GR[85], 1806 ; TLF, cit. Montpetit, 1897.
1632 - «[...] y ayant abondance de saumons [...] : poisson blanc d'un pied de long : poisson doré, esplan, tanche, perche [...].» Les Voyages de la Nouvelle France occidentale, dicte Canada, faits par le Sr de Champlain, 1re part., 6 (Paris, chez Pierre Le Mur) - TLFQ
homme-poisson n.m. WW- TLF, cit. Gide, 1927.
1828 - «Dès que l'organisme est reconnu comme principe unique de l'existence, il faut, pour expliquer cette existence dans toutes ses phases, parcourir l'échelle entière de l'organisme. De l'homme-plante vous irez à l'homme-poisson, de l'homme-poisson à l'homme-quadrupède. Vous vous élèverez ensuite de l'homme sauvage au barbare, et enfin à l'homme de la civilisation.» EcksteinLe Catholique, numéro 35, nov., 349 - P.E.
1921 - «[...] un même homme, si on l'examine pendant quelques minutes, semble successivement un homme, un homme-oiseau, un homme-poisson, un homme-insecte [...]» ProustSodome et Gomorrhe, 10 (Livre de poche) - P.E.
*1954 - «HOMMES-CAILLOUX, HOMMES-POISSONS R. BarthesMichelet par lui-même, 41 (Seuil) - P.E.
juif (poisson -) loc. nom. m. ICHTYOL.  "marteau" - FEW (5, 53b), 1611, Cotgr. ; absent TLF.
1558 - L. Joubert, trad. : G. RondeletL'Hist. entière des poissons, I, 304 (Lyon) - R. L. rom., 45, 250.
marche en arête de poisson loc. nom. f. SKI - RSp. (montée en -), 1924, Encycl. sports ; absent TLF.
1906 - «Marche ... [...] : Ouvrir le ski droit plus ou moins, suivant la raideur de la pente, le poser sur la neige en le faisant passer par-dessus le ski gauche ; exécuter avec le ski gauche ce qui vient d'être prescrit pour le ski droit. La marche en arête de poisson est employée pour gravir, sur un faible parcours, un thalweg étroit ou un chemin encaissé qu'on ne peut franchir par une marche en gradins ou en lacets.» RivasPetit man. du skieur, 21 (Briançon) - C.T.
poisson blanc loc. nom. m. ICHTYOL. - FEW (8, 584a), GLLF, GR[85], TLF, 1701, Nouv. Maison rustique ; L, ø d.
1632 - «[...] y ayant abondance de saumons [...] : poisson blanc d'un pied de long : poisson doré, esplan [...].» Les Voyages de la Nouvelle France occidentale, dicte Canada, faits par le Sr de Champlain, 1re part., 6 (Paris, chez Pierre Le Mur) - TLFQ
poisson de coque loc. nom. m. ICHTYOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1598 - «[...] nous continuasmes nostre chemin vers la mer morte [...] & ceste mer à deux mille de large & cinq mille de tour, me resouuenant auoir leu en Plutarcque que Lucius Lucullus grand personnage Romain, delicieux en son manger, signamment de poisson de cocque, auoit esté tant curieux d'enclorre ceste mer pour contenter son appetit [...]» J. de VillamontVoy., I, ch. 23, 122 - R.R.
poisson de rivière loc. nom. m. ICHTYOL. - GLLF, DHR, 1875, Lar. ; TLF, ø d.
1798 - «Poisson de mer. Poisson d'eau douce. Poisson d'étang. Poisson de rivière. Prendre du poisson.» Acad.Dictionnaire, II, 317c (Smits) - P.E.
poisson pourri (engueuler qqn comme du -) loc. verb. non conv. RELAT. - FEW (8, 585a), GLLF, DEL, TLF, DHR 1920, Bauche.
• engueuler qqn tel du poisson pourri
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1904 - «[...] cet incomparable époux, qui l'engueulait, tel du poisson pourri, et la battait pour un oui ou pour un gnon.» WillyEn bombe, 122 (Nilsson) - P.E.
poisson pourri (engueuler qqn comme du -) loc. verb. non conv. RELAT. "réprimander véhémentement" - DArg., 1900-13, Rictus ; DDL 42 (- tel du poisson pourri), 1904, Willy ; FEW (8, 585a), GLLF, TLF, DEL, DHR, 1920, Bauche ; BEI, déb. 20e.
1888 - «[...] le voilà à c't heure qui nous engueule comme du poisson pourri Courteline, Le Train de 8 h 47, in CourtelineThéâtre..., 611 (Laffont, Coll. Bouquins) - P.R.
1894 - «L'EMPLOYÉ. - Eh ! monsieur, il y va de ma responsabilité. Supposons que vous ne soyez pas le destinataire de cette lettre et que je vous la remette cependant. Qu'arriverait-il ? Il arriverait : primo, que je serais engueulé comme du poisson pourri [...].» Courteline, L'Ami des lois, in CourtelineThéâtre..., 387 (Laffont, Coll. Bouquins) - P.R.
poisson volant loc. nom. m. ICHTYOL. "poisson s'élevant dans les airs grâce à ses nageoires pectorales" - FEW (8, 584b), GLLF, TLF, DHR, 1690, Fur.
Add.DDL :
*av. 1627 - «[...] quantité de poissons volants comme de la bonite, daurade et grandes marées qui flottent l'une contre l'autre. Et parce que plusieurs ne veulent croire qu'il y ait des poissons volants, nous les instruirons de la façon comme ils sont faits, comme on les prend et quel est leur vol. Ce poisson est de la grandeur d'une sardine [...], la tête plate, le dos carré, les ailes qui outrepassent un peu sa queue et sont faites presque en forme de celles d'une chauve-souris par les extrémités, et sont comme couleur de cristal, presque transparentes et fort déliées.» Un Flibustier, 72 (Seghers) - P.R.
poisson volant loc. nom. m. ICHTYOL. "poisson s'élevant dans les airs grâce à ses nageoires pectorales" - DDL 44, av. 1627, Un Flibustier ; FEW (8, 584b), GLLF, GR[85], TLF, 1690, Fur. ; L, cit. Bonnet, 1764.
1609 - «Les especes sont Marsouïns, Dauphins, Baleines, Stadins, Dorades, Albacorins, Pelamides, & le poisson volant, que nous voyons voler en troupe comme les etourneaux en nôtre païs.» M. LescarbotHistoire de la Nouvelle France, 153 (Paris, Jean Milot) - TLFQ
ventre d'un petit poisson loc. interj. JURON - absent TLF.
Corr.G (1564, même texte)
1558 - «Mais laissons là ces beaux enseignemens : ventre d'ung petit poysson, rions : Et dequoy ? de la bouche, du nez : du menton, de la gorge, et de tous noz cinq sens de nature.» B. Des PériersNouv. récréations et joyeux devis, 14 (Champion, STFM) - P.E.