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cendal n.m. TEXT. - TLF, v. 1150 ; FEW (11, 641b), GLLF, 12e, Moniage Guillaume ; L, 13e ; G, cit. Bodel ; R, ø d.
• cental
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF. Au 19e :
1822 - «A ces mots un homme de moyenne taille, ayant un assez gros ventre et un très-beau tablier de cental blanc (espèce de taffetas commun), quitta précipitamment une table couverte de papiers, et otant son bonnet, il s'avança vers le chevalier.» Balzac, Clotilde de Lusignan ou Le Beau Juif, t. 3, 253 (Hubert) - J.C.
cendal n.m. d'apr. ital. VÊT.  Venise- ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1791-98 - «Etant obligés d'aller à l'église dans les jours de fête, et devant avoir les dehors que notre condition exige, nous sommes forcés à rester sans manger pour retirer la robe et le cendal que le besoin nous a forcées à mettre en gage.» Casanova, Hist. de ma vie, t. 1, ch. 7, 154 (1960-62) - R.R.
1960 - «CENDAL : Cenda, Zendado, Zendale, espèce de fichu en soie noire qui reposait sur la tête par une légère armature en métal, et orné d'une blonde. Croisé sur la poitrine et noué par derrière. En usage, chez les femmes vénitiennes, depuis 1701.» Note de l'éditeur, in Casanova,  Hist. de ma vie, t. 1, 299 - R.R.