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cartonnage n.m. PAPET.  "ouvrage en carton" - L, ø d ; TLF, cit. J. Lorrain, 1895 ; DG, GLLF, Lex.[79], GR[85], ø d.
1825 - «J'appris avec eux ainsi successivement tous les métiers auxquels on peut travailler sans force : celui de gaînier, j'ai fait avec eux une énorme quantité de portefeuilles de maroquin, aussi bien faits que ceux d'Angleterre ; le métier de vannier, où j'ai excellé ; nous avons fait des lacets, des rubans, de la gaze, du cartonnage, des plans en relief ; des fleurs artificielles [...] Peu de jours après mon arrivée à Paris, j'eus l'honneur d'envoyer pour le jour de l'an, à S.A.R. mademoiselle d'Orléans, une petite attrape de mon invention, qu'elle reçut avec sa bonté ordinaire : c'étoit un coffre en cartonnage qui représentoit parfaitement une demi rame de joli papier doré à billet ; on trouvoit dedans une règle qui paroissoit être d'ébène et qui étoit de chocolat, et un faux bâton de cire d'Espagne noire qui étoit aussi de chocolat.» Mme de Genlis,  Mém. , t. 3, 128 et t. 7, 271 (Londres, Colburn) - R.R.
1852 - «CARTONNAGE, s.m. Fabrication d'une infinité d'objets avec du carton [...] On fabrique du cartonnage dans presque toutes les capitales d'Europe, mais ce n'est réellement qu'à Paris que l'on peut trouver de jolis ouvrages en ce genre [...]» La Châtre, Dict.aussi dans Guérin, 1892 - TGLF