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capillaire adj. ANAT. "relatif aux cheveux" - TLF, 1842-43, Sue ; PR[72], av. 1861 ; GLLF, 1866, Lar. ; Ls, 1868 ; Mat. I, 1872, Lar. GDU.
1838 - «Il n'est pas surprenant que la peau du crâne se gonfle et s'irrite aussi sous une chevelure feutrée, et que l'altération des bulbes capillaires s'ensuive.»Charbonnier, in Dict. de la conversation, XLIV, 256b (s.v. plique) - C.H.
réservoir à tube capillaire loc. nom. m. PHYS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1829 - «[l'appareil] se compose essentiellement d'un réservoir de compression cc, fait en verre épais, et d'un réservoir à tube capillaire zz que l'on peut, avec quelques physiciens, appeler un piézomètre.» M. Pouillet, Elémens de phys. expér. et de météorol., t.2, 1ère part., 61 (Béchet) - P.P.
tube capillaire loc. nom. m. PHYS. - TLF, 1823, Boiste ; L, ø d ; GLLF, 1876, Lar. ; TLF, GR[85], ø d.
1799 - «Si l'on approche d'un tel liquide, des tubes capillaires quelconques, naturels ou artificiels, l'expérience nous apprend que ce liquide s'y élèvera.» J.C. Philibert, Introd. à l'étude de la botanique, II, 283-4 (Digeon) - P.E.
*1854 - «TUBE, s.m. [...] Tubes capillaires. Tubes de verre d'un diamètre fort petit, dont la cavité est si étroite qu'on peut la comparer à la grosseur d'un cheveu, et dans lesquels les fluides s'élèvent au-dessus de leur niveau, excepté le mercure qui s'arrête au-dessous de son niveau.» La Châtre, Dict. - TGLPF
*1868 - «Transpiration des liquides ou écoulement dans les tubes capillaires.» Moigno, Physique moléculaire, 33 (Bureau du journ. Les Mondes) - P.E.
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