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cape (coup de -) n.m. MAR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1833 - «L'un s'était trouvé à bord d'un navire où, pendant un coup de cape, le mât de misaine, déplanté, était venu prendre la place du grand mât, enlevé par l'effet d'une vague furieuse.» E. Corbière, La Mer et les marins, part. V, ch. 8, 274 - R.R.
cape (en -) loc. adv. MAR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1833 - «[...] enfin on parvint à la /la barre du gouvernail/ fixer sous le vent, et à rester en cape, sous un foc d'artimon.» E. Corbière, La Mer et les marins, part. 1, ch. 2, 13 - R.R.
poncho n.m. d'apr. esp. VÊT. Amérique du Sud- TLF, 1716, Frézier ; GLLF, 1875, Lar. ; PR[77], ø d.la date de 1772, dans Lex.[75], et de fin 18e, dans ND4, concerne un autre sens
*1822 - «Sous son lourd manteau appelé poncho, fabriqué dans le pays [...]» Arago, Promenade autour du monde, t. 2, 433 - Arch. St. n. Spr., t. 205, numéro 5, 364 (s.v. gaucho).
*1836 - «De brusques et froides raffales rasaient violemment le sol, et faisaient battre les ponchos sur le dos des cavaliers [...]» Th. Pavie, in R. des deux mondes, 1er juin, 620 - P.E.
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