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canonner v.intr. non conv. US. ALIM. "boire" - TLF, cit. Huysm., 1879.
1830 - «FOUCAULT LE BOMBE. C'est ça, ma fille, va canonner, ça fait qu' tu n' feras pas de bruit. L'APPRENTI. Oh ! la Clément, c'te chèvre qu'elle prend !» Les Barricades de 1830, 11 (Levavasseur) - P.E.
canonner v.intr. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1895 - «[...] le couloir de l'Aiguille du Midi canonne continuellement, et les alpinistes éprouvés ne passent là qu'avec les plus grandes précautions.» R. alpine, numéro 10, déc., 311 - C.T.
1906 - «Les pierres se détachent, en effet, à Lépéna, avec une facilité extraordinaire : la montagne canonne dès que le soleil fait fondre le verglas qui cimente les pierres instables. » La Montagne, numéro 10, oct., 464 - C.T.
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