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calot n.m. arg.  CORPS  "être difforme" - TLF, cit. Nerval, 1854 (même texte).callot : TLF, 1628, Jargon arg. réformé
1822 - «Quant aux farces d'étude, c'est ordinairement sur de vieilles ganaches, sur ce que les clercs appèlent des calots, qu'ils les exercent.» Cuisin, Le Peintre des coulisses, 119 - P.W.
1832 - «Les courtauds de boutanche, les coquillarts, les hubins, les sabouleux, les calots, les francs-mitoux, les polissons, les piètres [...]» Hugo, Notre-Dame de Paris, livre 2, 81 (Garnier) - TLF
1854 - «[...] daignez me recevoir au moins en qualité de monstre, de phénomène, de calot propre à faire amasser la foule, et je réponds de m'acquitter de ces divers emplois de manière à contenter les amateurs les plus sévères des provinces...» Nerval, Les Filles du feu, I, 502 (Garnier, 1958) - IGLF
calot n.m. COST. MILIT. - TLF, 1842, Compl. Acad. ; FEW (17, 80b), de 1863, Littré, à 1890, Dict. gén. ; L, DG, ø d.
1839 - «(costume milit.) Partie supérieure et à peu près plane d'un shako.» Complément Acad. - M.C.E.
calot n.m. abrév.  de calotinnon conv. , péjor.  RELIG.  "prêtre" - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1890 - Villatte, Parisismen (3e éd.) - K.G.
1920 - «calot [...] (terme de mépris) ; paraît être tombé hors d'usage de nos jours.» Kjellman, Mots abrégés, Vocab. - K.G.
calot n.m. CHAPELL. - GLLF, TLF, DHR, 1751, Encycl.
1627 - «Met sur la teste ung calot de satin noir doublé de ratine.» J. Héroard, Journ., 2, 3016 (Fayard) - P.R.
calot de veuve loc. nom. m. CHAPELL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1925 - «Sur le calot de veuve en crêpe garni crêpe blanc, est drapé le classique voile de crêpe anglais.» Le Jardin des modes, 15 janv., n° 66, 25, légende - M.C.