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calo n.m. abrév. de calorifèrenon conv. ÉCON. DOM. - TLF, cit. Gide, 1924.
1910 - «Il a posé son demi-litre de lait cacheté, pour le tiédir, sur le tuyau du 'calo' qui traverse les loges à ras de terre. [...] Brague vient nous rejoindre et s'accroupit en romanichel le derrière au chaud, sur le tuyau du calo.» Colette Willy, La Vagabonde , 45 et 101 (Ollendorff) - M.C.E.
calo n.m. abrév. de calorifèrearg. ARG. POLYTECHN. ÉCON. DOM. - DDL 16, 1910, Colette ; TLF, cit. Gide, 1924 ; absent GR[92].
Compl.E (1894)
1894 - «C'était un plaisir extrême, à une certaine époque, d'allumer un petit pétard d'enfant dans la conduite d'un calo [...]» Lévy et Pinet, L'Arg. de l'X - K.G.
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